COMMUNICATION
V
Premier
Volet
LES PHÉNOMÈNES PULSATOIRES CYCLIQUES
(La
2ème Symétrie)
Deuxième
Volet
LE CLAVIER ÉNERGÉTIQUE UNIVERSEL
1er
Volet : Les phénomènes pulsatoires cycliques
1
- Tout pulse
2
- Les cycles pulsatoires
A
- Les cycles longs et courts B
- La période pulsatoire C
- Le rythme pulsatoire
3
- Le champ rotatif centré
A
- Le champ sphéroïdal B
- L'écoulement C
- L'orientation
4
- La structure pulsatoire
A
- L'effet toboggan B
- L'effet boomerang
5
- L'écriture vibratoire sinusoïdale
A
- Paramètres B
- Le mouvement sinusoïdal
6
- Caractéristiques fréquentiels d'un champ
A
- La vitesse de propagation B
- Le mouvement hélicoïdal C
- La direction du champ
D
- Harmoniques de la fréquence fondamentale E
- Champs électriques et magnétiques
7
- La dynamie pulsatoire
A
- Les courbes cycliques B
- Les cohérences interférentielles C
- Les rythmes des horloges biologiques
D
- La régulation des cycles E
- Les interrelations régulatrices
2ème
Volet : Le Clavier Energétique Universel
8
- La matrice universelle
A
- Le clavier énergétique B
- Le spectre diagrammatique C
- Les porteurs de charge
D - Les champs fréquentiels
D - Les champs fréquentiels
9
- Le domaine tactile
10
- L'espace sonique
11
- Les ondes radio-électriques
12
- Le domaine thermique et les
ondes olfactives
13
- Les ondes optiques
14
- Le rayonnement X
15
- Les THF radioactives α, β, γ
16
- Les UF et de l'Energie Vélaire
NOTE
Il
serait avantageux pour la compréhension du 2ème volet en
particulier, d'avoir devant soi l'organigramme du Plenum énergétique
de la Communication III-2. Il servira de référent capital à la
disposition des octaves sur le clavier énergétique.
TRAVAUX
DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER
Le
lecteur constatera sans doute sur nos tableaux, certains trous et
dans nos exposés certaines inductions non explicitées. C'est que
nos exposés (nécessairement brefs) et les tableaux qui les
accompagnent ne se prétendent aucunement complets. Ils se veulent
point de départ à toute recherche, individuelle ou collective, que
nos thèses ou nos inductions vont initier.
Le
champ est vaste et chacun pourra en prospecter la séquence qui
l'intéresse le plus et servir ainsi l'avancée des
connaissances...
Premier
Volet
Tout
pulse dans L'Univers. La pulsation est la dynamie régulatrice
provoquée par la rencontre réactive permanente des champs VELaires
d'Ultra-fréquences et des champs VEMaires d'Ultra Basses Fréquences.
Elle
est caractérisée par la propagation d'un ébranlement entretenu
périodiquement et par un rythme alternativement contractif et
expansif. Le fonctionnement impulsionnel discontinu opère en
quasi-continu. Chaque source se comporte comme source relativement
cohérente. Les pulsations des corps universels vibrent en une
cohérence homogène constante. L'hétérogénéité est
circonstancielle (aléatoire) et locale.
Le
pulse s'exprime par un rayonnement, synonyme de radiation en Physique
quantique impliquant des particules porteuses. Il désigne un
processus d'émission ou de transmission d'énergie que nous allons
essayer de décrire.
On
distingue deux principaux cycles pulsatoires :
-
Le cycle long - de vie - de formation, avec, comme caractéristique,
un changement radical d'orientation du mouvement à des étapes
précises déterminées de la séquence évolutive globale, de la
croissance;
-
et les cycles courts - battements quotidiens -, sans changements
d'orientation.
Chaque
noeud énergétique possède son propre cycle pulsatoire,
auto-programmé pour un nombre fini de pulses. Ainsi, un noeud
biotypique de VFP très basse a-t-il un cycle pulsatoire très lent.
Le biotype humain, d'une VFP relativement haute, a un cycle
pulsatoire relativement vif.
A
un instant donné, les pulses s'arrêtent, épuisés. Et l'ensemble
automorphe se décompose en ses éléments constitutifs. Ainsi en
est-il de tout système dans l'univers.
Le
monde est un complexe de cycles dont la période varie entre la
fraction d'une femtoseconde (10-15 sec) et les milliards
d'années - soit à l'échelle moléculaire ou à l'échelle
galactique.
La
fréquence basique est d'un cycle par seconde. Les charges alternées
correspondent à des énergies fréquentielles qui dépassent par des
nombres pairs ou impairs, les multiples exacts de neuf à la seconde.
Pour connaître la parité d'une fréquence, additionner les chiffres
qui l'expriment...
Chaque
cycle est caractérisé par une période (durée d'un cycle en
secondes T) et un rythme (une fréquence, soit un nombre donné de
cycles effectués par seconde exprimés en Hertz et ses multiples).
La période est le plus court intervalle de temps nécessaire à un
phénomène pour achever un cycle de sa propre évolution. Toute
respiration est une évolution.
Et
chaque point de départ d'une nouvelle période est, sur l'échelle
évolutive, plus « haut » que le point de départ de la
période précédente. Et l'avancement continue en spirale... Un
cycle d'achèvement parfait couvre une série de neuf périodes.
Citons
quelques exemples de pulses que nous développerons par la suite : Un
atome pulse en moyenne une fois chaque 10.000ème de
milliardième de seconde; une molécule, le tiers d'un milliardième
de seconde; une cellule, 0,0001 sec.; l'homme et les
pluricellulaires, 3 secondes; la Terre, 24 heures; le Soleil, 80 ans;
une Galaxie près de 72 milliards d'années... La
durée d'un cycle s'exprime en seconde et ses sous-multiples:
- milliseconde, 1ms = 0,001 sec
- microseconde, 1µs = 0,000 001 sec
- nanoseconde, 1ns = 0,000 000 001 sec
- milliseconde, 1ms = 0,001 sec
- microseconde, 1µs = 0,000 001 sec
- nanoseconde, 1ns = 0,000 000 001 sec
La
pulsation s'exprime en radian/seconde et se calcule à l'aide de la
formule : ω=2.π.f
À
périodes différentes, mouvements distincts. Le rythme est la
cadence du mouvement pulsionnel d'un oscillateur dans le temps. Le
battement est généralement régulier lorsque le noeud est accordé
à son environnement.
Il
y a deux rythmes fondamentaux :
-
le rythme pair, monotone, à deux pulsations par seconde, et qui
caractérise le vivant inorganique;
-
et le rythme impair, dynamique, à trois pulsations par seconde, qui
caractérise le vivant organique.
Ce
battement rythmique s'organise avec régularité sur la base de deux
battements expansifs pour un battement contractif. (Cf II-3)
Le
rythme impulsionnel régulier génère une suite d'ébranlements
successifs produits à des intervalles de temps égaux. Ces ondes
sont rotatives. Elles s'écoulent en ondes sphériques non-directives
continues, et en ondes a-sphériques, ou faisceau directif, dues à
des éruptions directionnelles, aléatoires et discontinues. Le tout
forme un champ sphéroïdal unifié - que nous désignerons par VFP
ou Vibration de Fréquence Particulière, c'est-à-dire propre à la
source émettrice.
Le
champ est l'étendue du pouvoir d'une source. C'est la zone
spatio-temporelle sur laquelle s'exerce une force. Le champ irradié
est une vibration communiquée, propagée à une certaine vitesse et
caractérisée par des variations de pression. Le champ est déterminé
par la puissance émissive de la source ainsi que par sa période de
vie. Le spectre du champ (l'ensemble des lignes de champ) varie avec
le temps. Le champ est représenté par des hyperboles centrées. Une
hyperbole est une courbe dont la distance de tous ses points au foyer
est constante. Il n'y a pas de lignes droites dans l'espace. Tout est
courbe.
En
d'autres termes, tout rayonnement s'irradie par vagues. Nous verrons
plus loin que ces vagues sont hélicoïdales. Le champ atteint une
cible en des temps plus ou moins longs suivant la puissance de
l'émission et l'éloignement de la cible.
Les
radiations se propagent sous forme de vibrations quantifiées par
leur nombre par seconde : leur fréquence fondamentale. On peut la
représenter comme un
vecteur tournant à vitesse angulaire constante autour de son point
d'origine O. Les signaux décrivent ainsi leur amplitude maximale A,
leur fréquence f, le temps t, et leur angle de phase en radian j.
Par exemple, à l'instant t, la phase de radiation d'un objet est
l'angle j que fait le vecteur avec l'angle 0°.
Tout
organisme nodulaire pulsant est en mouvement giratoire orienté. Par
son mouvement pulsatoire et gyromagnétique, il transfert son énergie
cinétique en une énergie rayonnée isotrope, sous forme d'un champ
radial -(dont tous les vecteurs sont dirigés suivant les rayons d'un
cylindre)-. Comme résultat de sa giration, l'écoulement émissif du
champ s'organise en ondes rotatives centrées orientées dans le sens
de la pulsation nucléaire.
L'hélicité
(l'orientation) et le pouvoir rotatoire (la vitesse) varient en
fonction du temps de la séquence évolutive nodulaire -, de
l'homogénéité de la décharge principale et de la résistance de
l'environnement. (Cf figure 24)
Elle
est caractérisée par deux effets : L'effet que nous dirons
« toboggan » et l'effet que nous dirons « boomerang ».
Le
champ pulsé se mue par salves ou trains de vagues formant des
surfaces d'ondes sphériques de centre déterminé. Autrement dit,
toute crête de tension est suivie d'une détente qui relance la
crête suivante. C'est l'effet toboggan de toute émission générative
distributionnelle et de toute forme de réception. (Figure 35 : Le
rail sinusoïdal. Pour voir les schémas, merci de se reporter au PDF.)
Nous
constatons cet effet dans la rythmicité, dans la succession cyclique
des périodes de veille et de sommeil, d'action et d'épuisement,
d'accroissement et de diminution, de prospérité et de récession,
etc. Les franges sont alternativement brillantes et sombres. Les
arches successives alternées de la courbe sinusoïdale sont dues aux
amplitudes alternées : Un puits de détente précède et suit une
crête de tension. L'onde de champ est dite alternativement
progressive. Remarquons que la vague accélère le mouvement d'un
nageur ou d'un surfeur quand elle le saisit dans son creux. La force
du champ propagé s'amortit rapidement.
En
rythme expansif - diffusionnel, les champs rotatifs centrifugent. En
rythme contractif, les champs sont centripètes. C'est le retour, le
reflux, le rappel vers la source. Ce mouvement est inexorable.
L'espacement
des champs entre chaque période pulsatoire, la cadence d'impulsion
(le taux de répétition) des vagues (salves) et leur intensité,
sont proportionnels à la: fréquence vibratoire du rayonnement émis
et des besoins énergétiques de l'environnement.
Nous
schématiserons les deux effets toboggan et boomerang, de salves, de
flux et de reflux, par une oscillation sinusoïdale constante, en
faisceau, comme suit (Figure 37).
La
sinusoïde est la courbe représentative de la constante périodique
de crue et de décrue, d'expansion et de rétraction. Les champs
fluant et refluant successivement forment des fuseaux. Autrement dit,
un fuseau est composé de deux trains d'ondes égaux mais de
mouvements opposés. La paire de rails dessinant la libération et
l'absorption énergétique est symétrique.
Nous
vérifions ce fait en étudiant les vibrations périodiques d'un
diapason, communiquées à une corde tendue entre le diapason et une
poulie. Elles sont traduites immédiatement par l'apparition de
fuseaux, avec la présence d'un ventre à l'extrémité libre. Les
mouvements sont en opposition de phase aux nœuds et en phase aux
ventres. (Figure 38).
Les
points de cisaillement des champs fluant et refluant successivement
sont dynamiques. Ils forment autant de noeuds énergétiques, qui,
par la dynamie de la rencontre des champs de mouvements opposés,
équilibrent le cycle fréquentiel de la source pulsante.
L'effet
boomerang est exprimé par une clothoïde ou spirale à deux pôles
qui s'enroule et se déroule alternativement d'un côté puis de
l'autre, en un mouvement alternativement convergent et divergent.
Comme le montre la figure suivante : (Figure 39)
(Cf
également Figures 11 et 12 in II-3)
Les
propriétés qualitatives s'expliquent par des propriétés
quantiques.
Un
vecteur champ est un entier qui s'exprime par un mouvement sinusoïdal
périodique caractérisé par différents paramètres et propriétés
formelles et quantiques, dont
1)-La
dynamie pulsatoire de la source;
2)-
La position spatio-temporelle ou le caractère localisé de
l'émission;
3)-
La période cyclique qui est l'intervalle de temps qui sépare deux
positions identiques de la courbe sinusoïdale. C'est l'écart qui
sépare deux arches (ou ventres) identiques successives. C'est la
durée d'une oscillation complète.
4)-
La vitesse d'écoulement ou la fréquence cyclique du signal
détermine sa vitesse de propagation soit son énergie cinétique. La
fréquence détermine le nombre de fois qu'un phénomène périodique
se reproduit par seconde, indépendamment de toute référence. La
vitesse est donc une fonction sinusoïdale du temps. Et
l'accélération est proportionnelle à l'énergie. La fréquence
varie en raison inverse de la longueur d'onde. Le rayon d'un champ
précise sa fréquence vibratoire (exprimée en Hertz et ses
multiples).
5)-
L'amplitude est l'intensité qui varie périodiquement,
indépendamment de toute référence.
6)-
L' énergie cinétique ou la puissance exprime l'énergie transportée
par le champ et son efficacité. La courbe représentant l'énergie
en fonction de la fréquence vibratoire exprime le spectre du champ.
L'énergie vibratoire est proportionnelle au carré de l'amplitude de
l'oscillation. La luminance d'une source lumineuse, par exemple, est
la puissance émise par unité de surface émissive... L'action est
le produit de l'énergie par le temps (ou de l'impulsion par la
longueur). Le rendement quantique externe est le rapport de l'énergie
fournie à l'énergie reçue.
7)-
La longueur d'onde est le produit de la période par la vitesse de
propagation de l'onde. Pour une fréquence double, la longueur d'onde
est de moitié. Le
champ oscillatoire est exprimé en ångström,
symbole Å, unité de longueur
valant
0,1 nanomètre, soit 10−10 mètre.
8)-
La phase est le chemin parcouru, exprimé par la différence d'état
et de sens du courant vibratoire, en fonction d'une référence, d'un
mouvement ondulatoire possédant la même fréquence. Deux sources
sont dites en phase lorsque leurs émissions sont conjuguées formant
une fréquence commune amplifiée .
9)-
La directivité ou la direction de propagation - généralement
isotrope.
10)-
La composition du spectre émis et son potentiel électro-magnétique,
chimique, infra et supra-luminal...
La
largeur et le nombre des fuseaux dépendent de l'intensité
vibratoire pulsée. (Figure 40)
Les
crêtes des ventres (ou arches sinusoïdales ou franges des champs)
des fuseaux dessinent les maxima et minima des champs énergétiques
pulsés. L'amplitude passe par un minimum entre deux maxima
consécutifs. L'arche supérieure est une crête de tension ou de
compression, l'arche inférieure est un puits de détente ou de
dilatation.
Sur
les noeuds, points de rencontre, de cisaillement des champs,
l'amplitude vibratoire est nulle. Les interfranges nodulaires sont
distants d'un nombre entier de la moitié de la longueur d'onde (λ/2
). Les noeuds forment la colonne vertébrale d'équilibre de
potentiel.
Un
noeud et un ventre successifs sont distants d'un nombre impair de
quart de longueur d'onde (λ/4) et deux ventres consécutifs de λ/2.
L'onde se propage comme dans une fibre optique. Comme sur la figure 41, l'onde incidente est réfractée en A puis elle va se réfléchir totalement un certain nombre de fois sur la paroi de la fibre sous un angle β, supérieur à l'angle de réfraction h'mite(α<33°), puis va ressortir à l'extrémité B opposée de la fibre dans les mêmes conditions qu'à l'entrée. Remarquons qu'aucune des propriétés de l'onde n'est modifiée lorsqu'on courbe la fibre.
Les
radiations se propagent sous forme de vibrations quantifiées par
leur nombre par seconde sur des rails proportionnels. Chaque champ
rayonnant possède sa propre vitesse de propagation. À vitesse
nulle, l'énergie cinétique est nulle.
La
vitesse de propagation semble constante, mais en fait, le train
d'onde s'amortit, atténue son efficacité, en s'éloignant du centre
émissif. Un éclairement modulé, par exemple, décroît à partir
du centre de la source.
D'autre
part, la vitesse dépend aussi de la nature du milieu dans lequel
l'ébranlement se propage. L'éclairement varie en fonction de sa
répartition spatio-temporelle
Une
émission à cadence faible génère des signaux longs à longue
distance. À cadence plus élevée, elle génère des signaux de
durée plus brève à des distances plus courtes avec un pouvoir de
résolution angulaire plus élevé. Ainsi, les radiations luminales
électro-magnétiques se propagent-elles dans l'espace interstellaire
à une vitesse maximale de près de 300.000 Km/s... Le son - l'onde
sonore - sous pression atmosphérique de 76cm de Mercure, se propage
dans l'air sec à 331 mètres à la seconde. Dans les mêmes
conditions, il se propage dans le chlore à 205 m/s, dans l'anhydride
carbonique à 260 m/s, dans l'azote à 329 m/s, dans l'oxyde de
carbone à 335 m/s, dans l'éther sulfurique à 1159 m/s, dans
l'hydrogène à 1261 m/s, dans l'alcool à 1278 m/s, dans l'eau à
1435 m/s, dans l'argent à 2591 m/s, dans la fonte à 3700 m/s, dans
l'acier fondu à 4966 m/s...
La
transmission d'un son dans un corps solide dépend de l'arrangement
moléculaire et de l'orientation du son par rapport au corps. Ainsi,
dans le bois par exemple, le son se transmet plus rapidement dans le
sens des fibres que perpendiculairement. Les étoffes étouffent le
son.
La
vitesse de propagation se caractérise, sur la courbe sinusoïdale,
par les degrés d'espacement entre les arches successives. La lenteur
(Basse Fréquence) est caractérisée par une structure large, soit
un vaste espacement; l'accélération des Hautes Fréquences par une
structure étroite, soit un espacement minimal entre les arches.
(Figure 42)
Ainsi
c'est principalement de la précision de l'évaluation qualitative et
quantitative de la vitesse d'une onde que dépend la détermination
de tous ses paramètres.
Les
ondulations sont diffusées circulairement (en fait sphéroïdalement)
à partir d'une source ponctuelle. Les vagues - fronts d'onde ou
rails s'étendent à grande distance jusqu'à devenir des vaguelettes
insignifiantes. Le champ, étroit au départ, s'élargit
progressivement, perdant son efficace.
Le
champ pulse en anneaux spiralés centrés orientés. La diffusion
spiraliforme forme des cercles concentriques spiralés, serrés au
départ puis élargis, enroulés en hélice. La circulation d'un
vecteur tourbillon (ou rotationnel) exprime la puissance du flux.
L'intensité de l'émission détermine des pouvoirs rotatoires
différents.
Les
spirales se retrouvent partout dans la nature. Ou plutôt tout est
spirale, le cercle et la ligne droite n'étant que les cas extrêmes
de la spirale. Citons quelques spirales
La
coquille du nautile; l'inflorescence (les pétales) de la pâquerette
comptant 21 spirales dextrogyres et 34 lévogyres; l'ananas et la
pomme de pin dont les écailles se disposent respectivement en
spirales dextrogyre (8 et 5) et en spirales lévogyres (13 et 8); les
graines du tournesol géant se disposent selon des spirales
équiangulaires, 34 dextrogyres et 55 lévogyres; la corne du
rhinocéros; le limaçon de l'oreille ou cochlée... Tous les
insectes volant animent une spirale dans leur vol. De la sève à la
graine, le végétal organise une évolution spirale verticale autour
d'un axe radiculaire.
Les
spirales se distinguent selon la variation du rayon de courbure en
fonction de l'angle de rotation. Mais la cause de ce système
d'engrenage est identique. Pour les vivants organiques, les cellules
embryonnaires, dès la troisième mitose, se disposent en spirales
soit lévogyres soit dextrogyres soit alternativement soit
successivement lévogyres- et dextrogyres, et ce, suivant les
fonctions du tissu répondant aux courants spiraux.
La
forme spiralée est la forme naturelle par excellence. Ce qui a été
prouvé par le fait que, comme le limaçon de l'oreille, une antenne
radio en forme de spirale logarithmique peut recueillir et
transmettre des signaux radio de toutes longueurs d'onde, et
remplacer ainsi avantageusement les longues antennes employées
auparavant pour les grandes longueurs d'onde et les antennes courtes
pour les ondes courtes.
Au
départ, le champ est isotrope. Et la direction semble aléatoire.
Mais en fait les conditions écologiques environnementales
déterminent son anisotropie, c'est-à-dire son comportement
différent selon le milieu de propagation. Ce qui détermine une
direction uniaxiale plutôt décisive qu'arbitraire du mouvement du
champ.
Le
rayon de courbure de la rafale des charges varie au fur et à mesure
de la rotation. (Figure 43)
Toute
source pulsante émet une raie spectrale singulière caractéristique,
VFP fondamentale, quantum d'énergie cinétique caractérisé. Le
champ émis ne peut osciller qu'à des fréquences formant une suite
de valeurs relatives:
-
La fréquence fondamentale, au régime fondamental : C'est la
fréquence minimale stable à laquelle peut vibrer la source;
-
et les fréquences harmoniques, multiples entiers de la fréquence
fondamentale, Chaque onde possède des réseaux de vibrations
corrélatives.
Chaque
objet peut émettre en phase avec un autre ou en décalage, en
quadrature ou en opposition de phase, (en distorsion), même si ces
objets se caractérisent par une même fréquence fondamentale.
L'analyse spectrale montre que celle-ci se compose en réalité de
multiples autres fréquences harmoniques, qu'elles soient paires ou
impaires. Leur ensemble forme une composition harmonique
caractéristique. Prenons comme exemple la note LA du piano de
fréquence fondamentale 440 hertz. Ses harmoniques sont :
- 880 Hz harmonique 2 - la4
- 1320 Hz harmonique 3 - la5
- 1760 Hz harmonique 4 - la6
- 2200 Hz harmonique 5 - la7
- 2640 Hz harmonique 6 - la8
- 3080 Hz harmonique 7 - la9
- 880 Hz harmonique 2 - la4
- 1320 Hz harmonique 3 - la5
- 1760 Hz harmonique 4 - la6
- 2200 Hz harmonique 5 - la7
- 2640 Hz harmonique 6 - la8
- 3080 Hz harmonique 7 - la9
La proportion d'harmoniques pour une fréquence fondamentale crée une différence de timbre caractérisée par une richesse variable en harmoniques, son assourdi ou brillant, produit par l'instrument de musique qui joue la même note. Nous n'entendons pas le même timbre lorsqu'une flute, un basson ou une trompette (instrument à vent) joue la même note la3 qu'un instrument à cordes comme le violon ou la voix humaine.
La
fréquence fondamentale caractérise le niveau d'énergie stable,
sans trop de gain ou de perte d'énergie. L'équilibre y est
dynamique. La source vit en un milieu harmonique. Tout passage d'un
état à un autre provoque une variation d'énergie correspondante :
dépense d'énergie par émission ou gain par absorption. Ces
changements d'état correspondent à des réactions comportementales
aux événements circonstanciels de la vie, aux rencontres
interférentielles. Mais ces dépenses ou gains énergétiques
restent dépendant de la fréquence fondamentale. Ils en développent
uniquement les fréquences harmoniques.
Notons
d'autre part qu'un champ ne peut agir que sur les champs dont le taux
vibratoire est 1)- inférieur à celui qui l'anime et 2)- vibrant à
une de ses fréquences harmoniques. Deux éléments dont l'un se
trouve doué d'une vitesse supra-luminique (THF) et l'autre
infra-luminique (BF), le second n'existe pratiquement plus pour
l'autre.
Tout
plan d'onde porte un champ électrique et un champ magnétique
perpendiculaires entre eux et situés dans le plan de l'onde. Ils
sont en phase et leurs amplitudes sont proportionnelles.
Le
champ électrique qui caractérise une onde présente les propriétés
suivantes : Son amplitude est variable; sa variation est sinusoïdale
et sa fréquence de vibration est directement liée à la longueur
d'onde du rayonnement. Ainsi, par exemple, plus la longueur d'onde
est petite, plus la fréquence est élevée. (Nous aborderons dans le
prochain cahier les propriétés du champ magnétique.)
Les
ondes de très hautes fréquences sont des ondes courtes, rapides et
de faible amplitude. Les ondes de basses fréquences sont des ondes
longues, lentes et de grande amplitude.
-
Par exemple, nos moyens de détection actuels permettent de noter que
les rayons cosmiques pulsent de 5x1024 à 3x1023
cycles par seconde ou Hertz. Cette fréquence cyclique correspond à
une longueur d'onde de près de 0,0001 Å, soit de 1014 m
de longueur d'onde, à une température de 3x1011 K.
-
Les rayons Gamma pulsent à près de 3x1022 Hz à 3x1019,
soit à 0,01Å, soit de 1014 m à 1011 m (0,1
nanomètre) de longueur d'onde, à une température de 3x1011 K
à 300 MK.
-
Les rayons X à près de 3x1019 Hz à 3x1016 soit
à 1 Å, soit de 10-11m à 10-8 m de longueur
d'onde, à une température de 300 MK à 0,3 MK.
-
Les rayons UV à près de 1016 à 7,5x1014 Hz,
soit à 2000 Å, soit de 400 nm à 10 nm de longueur d'onde, à une
température de 300 000 K à 7 250 K.
-
Les rayons de la frange visible du spectre électro-magnétique à
près de 7,5x1014 à 4,3x1014 Hz, soit à 6000
Å, soit de 700 nm à 400 nm de longueur d'onde, à une température
de 7 250 K à 6760 K.
-
La
fréquence approximative du pulse respiratoire au repos d'un adulte
est de 0,25 Hz
-
Le tempo de 60 pulses cardiaques par minute correspond à une
fréquence de 1 Hz.
-
La
fréquence moyenne d'un seul battement de cœur d'un adulte au repos
est de 1 Hz.
-
Les fréquences acoustiques perceptibles par l'homme sont de 0,02 kHz
à 20 kHz.
- La note de
musique La, comme nous l'avons déjà vu, est de 440 Hz. Elle
sert à accorder les instruments d'un orchestre.
- la note de
musique Do (au milieu du piano) est de 261,626 Hz.
Deux
champs atteignant un point, interfèrent : Ils s'équilibrent, se
renforcent, s'affaiblissent ou s'annulent mutuellement,
continuellement, les fréquences s'ajustant constamment.
Le
mouvement fréquentiel le plus rapide influence l'autre et
particulièrement dans les cas d'harmonie vibratoire.
Lorsque
deux éléments de charges complémentaires s'unissent, leur charge
d'espace commune interférentielle vibre à une fréquence qui est la
moitié du total de leurs fréquences réunies. Par exemple,
lorsqu'un élément de VFP 5000 Hz s'unit à une autre de
7000 Hz, la charge d'espace commune vibre à la fréquence de
5000+7000/2 soit 12000/2= 6000 Hz.
Le
contraste fluctue avec la régularité de l'espacement des franges
(la cohérence fréquentielle) et la cohérence spatio-temporelle. Le
contraste est brouillé en cas d'incohérence totale et de
distorsion. Il est flou en cas de cohérence partielle.
Le
battement résulte de la succession de renforcements et
d'affaiblissements fréquentiels - d'ajustement. La fréquence des
battements est proportionnelle à la fréquence des mouvements qui
interfèrent. Les conditions de cohérence sont multiples :
1)-
La cohérence chrono-spatiale d'abord : Elle est liée a)- à la
dimension, à la position des sources par rapport à la cible, ainsi
qu'à la synchronie émissive, et b)- à la synchronie
interférentielle.
a)-
La synchronie des sources : Les sources efficientes sont dites
synchrones ou associées lorsque leurs mouvements pulsatoires sont en
phases, homogènes et constants dans le temps (ou variant très
lentement),
1/
soit que, polariseurs croisés, elles vibrent en phase constante, en
un commun accord : c'est-à dire que les champs pulsés, étant
partis concordants, arrivent concordants en un point cible donné. La
cohérence est temporelle et spatiale.
2/
soit qu'elles vibrent en opposition de phase ou en déphasage
cohérent constant, c'est-à dire que les champs pulsés, étant
partis concordants, arrivent discordants, déphasés, mais dans un
décalage constant dans l'espace et le temps.
b)-
La synchronie interférentielle : Elle est le résultat de l'action
simultanée, en un même point, du balayage spatio-temporel par des
vibrations fréquentielles différentes provenant de sources
différentes, pulsant synchroniquement ou non, et ce, quel que soit
le chemin et les distances parcourues. L'arrivée en coïncidence des
franges détermine la cohérence temporelle interférentielle.
2)-
La cohérence fréquentielle : Elle est déterminée par la rencontre
de fréquences ayant entre elles des propriétés harmoniques et ce
quelle que soit la valeur des fréquences.
a)-
Si les vibrations diffèrent d'un nombre entier de longueur d'onde,
les vibrations sont en phase et les effets s'ajoutent : Le point
vibre avec une amplitude supérieure à celle des sources. Si le
point interférentiel est équidistant des sources, l'amplitude et la
cohérence sont maximales.
b)-
Si les chemins diffèrent d'un nombre de longueur d'onde égal à un
nombre entier plus ½, les vibrations sont en opposition de phase.
Discordants et opposés, ils annulent leurs effets.
Les
interférences sont cohérentes lorsque les champs sont cohérents
entre eux. Les fréquences s'intègrent en un réseau homogène
unifié. Les interférences sont incohérentes et brouillées lorsque
les champs sont déphasés de façon aléatoire. Le brouillage est
alors total et le contraste nul.
Toute
hétérogénéité est circonstancielle et locale. Nous résumerons
cela par la Figure 44 et ses multiples variations ainsi que par le
tableau suivant:
Cas A
|
Cas B
|
Cas C
|
|
---|---|---|---|
Fréquences
|
égales
|
égales
|
égales ou différentes
|
Phases
|
égales
|
différentes
|
différentes
|
Les différences de phase
|
nulles
|
constantes
|
aléatoires
|
Les sources et les champs
|
cohérents
|
cohérents
|
incohérents
|
Les interférences
|
cohérentes
|
cohérentes
|
incohérentes
|
L'éventail
des courbes cycliques est très large. Pour le biotype humain, par
exemple,
-
les pulsations cérébrales sont très rapides. Les neurones
cérébraux rythment 1000 périodes par seconde. Autrement dit,
l'influx nerveux parcourt plusieurs mètres par seconde. Nous
schématiserons cette courbe cyclique comme suit :
-
Le rythme des cellules nerveuses décrit 50 périodes par seconde : ∼
-
Le rythme Bêta qui a son siège dans le lobe frontal décrit 18 à
22 cycles par seconde: ∼
-
Le rythme Alpha qui apparaît aux moments de repos et que l'attention
paralyse, décrit 8 périodes par seconde soit une courbe plus
accentuée : ∼∼∼∼∼∼∼∼
-
Le rythme Thêta qui se trouve localisé à l'intérieur du lobe
temporal, dans le « magasin » mnémonique, décrit 4 à 7
périodes par seconde.
-
Le rythme Delta qui paraît au cours du sommeil profond ou en cas de
perte de conscience, décrit 1 à 3 périodes par seconde.
-
Le rythme cardiaque décrit 72 à 76 battements par minute. C'est le
rythme de la première cavité coronale. Le rythme de la seule cavité
décrit 40 à 50 battements par minute soit un rapport de 2 à 1.
-
La cadence respiratoire se rythme par un mouvement contractif
aspirant et expansif expirant, toutes les 3 secondes.
-
L'estomac se contracte 3 fois par minute. L'intestin une fois par
minute.
-
Les reins ont un cycle de 24 heures et les sécrétions sont réglées
sur les heures de veille.
-
Le cycle des ovaires se rythme sur le cycle solunaire de 28 jours.
-
Les globules rouges déversées par la moelle des os accomplissent
leur travail en une vie cyclée de 128 jours. Le cycle du Calcium
renouvelant entièrement les os s'étend sur 200 jours (Cf XII-9).
Le
biotype humain est ainsi régi et réglé par une multitude
d'horloges biologiques internes, toutes accordant entre elles leurs
structures rythmiques complexes. Les horloges étant vulnérables,
tout cas de défaillance de l'une ou de l'autre, ou en cas de
réception accidentelle de vibrations parasites, entraîne
infailliblement la discordance, le désaccord - la maladie. Et ce qui
est valable pour le biotype humain est valable pour tout autre
biotype pris individuellement ou considéré en tant que groupe,
société ou ensemble d'espèce.
Dans
le cas d'accord entre les multiples horloges biologiques d'un biotype
donné, la santé est harmonieuse et équilibrée et suit les voies
séquentielles normales de l'évolution du biotype. Les intervalles
entre les oscillations cycliques, pour un biotype donné, sont
constants - dans les conditions de normalité.
Les points de cisaillement des courbes cycliques forment des plexus énergétiques ponctuels sur une ligne continue. Observons le diagramme des cycles métaboliques avec des périodes de 4, 6, 10 et 12 heures (Figure 45). Nous remarquerons que certains cycles vibrent en phase quand les courbes se trouvent sur le même fuseau : 12, 15, 20 et 24 sur notre diagramme. Ils sont en opposition sur 6 et 18. Ce diagramme cyclique est universellement applicable.
Les points de cisaillement des courbes cycliques forment des plexus énergétiques ponctuels sur une ligne continue. Observons le diagramme des cycles métaboliques avec des périodes de 4, 6, 10 et 12 heures (Figure 45). Nous remarquerons que certains cycles vibrent en phase quand les courbes se trouvent sur le même fuseau : 12, 15, 20 et 24 sur notre diagramme. Ils sont en opposition sur 6 et 18. Ce diagramme cyclique est universellement applicable.
Les
champs ultra-fréquentiels et de fréquences électromagnétiques se
rencontrent en des noeuds formant des plexus ponctuels
interférentiels. Sans aucun risque de mélange par multiplexage.
Tous
les champs sont plus ou moins en équilibre au sein d'un biotype
donné - formant sa VFP. Mais si, pour une cause ou une autre, les
champs ne se rencontrent pas, il en résulte un déséquilibre plus
ou moins important, pouvant être létal.
Pour
rétablir cet équilibre, on essaiera d'ajuster, par divers moyens,
les champs différents en leurs points de cisaillement constants.
Pour le biotype humain, on plante par exemple dans les noeuds de
rencontre, des aiguilles qui, par leur action indirecte, rétablissent
l'équilibre. Ces noeuds de cisaillement ne sont que les points
d'acupuncture utilisés depuis des millénaires par la culture
chinoise.
(Nous
aborderons dans la prochaine Communication les rapports de cette
structure pulsionnelle de rencontre avec les orbitales nucléoniques,
ainsi que la dynamie de mouvement des masses orbitales dans le sens
de la pulsation nucléaire ; et dans les Communications XI et
XII, les nœuds d'énergies biotypiques, les points d'acupuncture,
les rythmes biologiques, etc.).
D'autre
part, si nous rapprochons le diagramme exprimant les ensembles
cycliques d'activité métabolique fonctionnelle d'un biotype donné,
du diagramme exprimant les mouvements métaboliques ou les activités
des principaux déterminants écologiques (Soleil, Terre, Lune,
Planètes, champs géomagnétiques...), nous constaterons,
statistiquement du moins, que l'activité métabolique (les horloges
internes) du biotype répond aux conditions déterminantes de
l'activité écologique (les horloges externes), comme, par exemple,
le cycle un-décennal (11 ans) des éruptions solaires, le cycle
mensuel de la Lune, etc.
Tout
est lié et accordé. Tout est affecté par les champs énergétiques
des divers déterminants écologiques, de leur position relative, de
leur évolution réciproque... (Cf Communication IV)
LE
CLAVIER ÉNERGÉTIQUE UNIVERSEL
Suivant
les relevés d'observation et d'expérience qui ont pu dénombrer,
identifier et mesurer le spectre des principaux champs vibratoires
accessibles aux sélecteurs d'onde disponibles, et enfin en
déterminer les symétries, leurs effets, leurs modes actifs, leurs
interactions et les lois quantiques les régissant, il a été
possible d'établir un système harmonique. C'est le clavier
énergétique - matrice de dimensions finies - qui précise la
distribution spectrale du rayonnement énergétique par un étalement
sur une échelle de 81 octaves, chacune exprimant un nombre défini
de vibrations par seconde.
L'octave
est l'intervalle de répétition entre deux fréquences vibratoires
de cohérence directement apparentée. Chaque octave répète les
mêmes correspondances, les mêmes rapports entre les différents
paliers fréquentiels. Toutes les vibrations fréquentielles sont
donc en relation d'après les lois inhérentes de correspondance et
de corrélation (les harmoniques).
Le
clavier énergétique qui unit tous les claviers, commence avec la
première octave avec deux cycles (vibrations) par seconde et finit à
la 81ème octave, avec des trillons de cycles par seconde.
Chaque
octave est subdivisée en une gamme de 22 séquences (tons)
différents. Mais dans notre travail actuel, nous nous bornerons à
considérer uniquement qu'une octave est composée de 12 séquences :
7 notes principales et 5 dièses intermédiaires.
Chaque
séquence est l'intervalle entre deux fréquences vibratoires
successives, l'une étant le double de la précédente. Autrement
dit, à chaque octave, comme à chaque séquence dans une octave, le
nombre de cycles est le double de la précédente.
Chaque
gamme possède sa propre échelle, ses infra et ses supra.
Tout
baigne dans l'océan énergétique, tout s'y forme et s'y transforme.
Tout n'est qu'une seule et même énergie qui s'exprime différemment
par un éventail de fréquences en parfaite continuité, variation
continue à travers un spectre continu qui s'étale infiniment. Elle
s'exprime par divers flux vibratoires de diverses fréquences et
intensités. La variabilité de la gradation est expérimentalement
détectable. Nous schématiserons ce déploiement par une verticale
fléchée dans les deux sens. L'échelle des vibrations inscrit les
différents paliers énergétiques en une symétrie unitaire (Figure
46).
Au
sommet supérieur, les énergies de fréquences vibratoires très
élevées : Les énergies VELaires de fréquences supraluminales. Au
sommet inférieur, les énergies de très basses fréquences : Les
énergies VEMaires infraluminales.
Entre
les deux extrêmes, toute la variété des ondes que nous nommons,
suivant leur reconnaissance par nos sens, souvent prolongés par des
détecteurs puissants : Ondes électro-magnétiques, calorifiques,
lumineuses, soniques (acoustiques), ultrasonores, radio, psi, etc.
Ces
énergies rayonnantes ne sont divisées, opposées et hiérarchisées
qu'en apparence. En fait, toutes se complètent. Il n'y a qu'une
seule et même énergie composée, suivant les connections et
interactions des noeuds entre eux, de rayonnements de différents
taux vibratoires. Il n'y a pas de séparation. Tout est en tout. L'un
des rayonnements n'existe pas sans l'autre. L'un n'est que par
l'existence de l'autre. Il n'y a pas de point initial absolu
d'émission bien que chaque noeud énergétique ait chacun son propre
commencement et sa propre fin. Rien n'est séparé. Tout est lié,
UN.
À
chaque champ énergétique, correspond un quantum d'action
particulaire, centre de force et porteur de charge. Les porteurs des
champs électromagnétiques, comme nous l'avons déjà vu, répondent au nom générique conventionnel : les Tardons
suivis des Luxons. Les porteurs des champs ultra-fréquentiels sont,
progressivement, les Tacchyons, les Psychons, les Ergons, … et les
Velons. (Cf Figure 20 Le Plenum énergétique in III-2).
En
plus des champs fréquentiels conventionnels, il existe certains
groupes d'énergie qui se forment pour exprimer l'une ou l'autre
caractéristique fonctionnelle d'un élément. Ces faisceaux
fréquentiels sont plus ou moins connus. Il appartiendra aux
chercheurs novaliens de les étudier de plus près. Citons :
-
Le faisceau fréquentiel formel engendré par un champ spatial,
c'est-à dire par les formes géométriques dynamiques des objets :
Les ondes de forme.
-
Le champ tellurique engendré par les courants d'eau et les gîtes
métallifères...
-
Le champ mitogénique produit par les cellules de la matière
organique...
-
Le champ biotypique VFP exprimant la nature fondamentale d'un étant
biotypique dès sa naissance, c'est-à dire le rythme fréquentiel
fondamental constant d'une espèce donnée et d'un individu au sein
de cette espèce.
-
Le champ bio-plasmique ou biométrique engendré par la nature des
organes d'un biotype et dont la puissance électro-magnétique varie
circonstanciellement en restant dans les limites harmoniques de la
fréquence biotypique fondamentale.
-
Le champ (psi) psychonique engendré par les interrelations
cervicales (champ de la pensée et des émotions...).
-
Les champs vélaires...
NOTES
: Dans les tableaux qui vont suivre, de nombreux chiffres sont cités.
Les outils de connaissance quantique étant limités, malgré leur
déjà assez large éventail, les chiffres cités - bien que
généralement confirmés par l'expérience scientifique,
s'approchent plus ou moins de la réalité. L'avancée des
connaissances précisera davantage les données.
MESURES
& CORRESPONDANCES
Le
tableau des mesures suivant clarifiera les idées. Voir aussi
l'Annexe 1.
ångström
: 1 Å = 10-4μ micron (dix-millièmes de
micron) = 10-7 mm = 10-8 cm = 10-10
mètres.
Micron : 1 μ = 10-3
mm = 10-6 m (1 millième de mm).
μ0 est
une constante magnétique universelle qui vaut 4π×10-7 H/m
(Henry/mètre), μ notant la
perméabilité magnétique d'un matériau.
0,1 Å = 3.109
Hz
1 Mz =106 Hz
ou 1 000 000 Hz
1
kJ vaut 239,005736 Calories, et 1 Calorie vaut 4,18 joules
Electron-volt : 1 eV
= 1,60217653×10-19 joule
1 MeV = 106 eV
1 nanoseconde = 10-9
secondes
1 picoseconde =
10-12 secondes
1 Gigawatt Gw = 109
W
1 Terawatt Tw = 1012
W
Un
décibel équivaut à 1/10 de bel
Une
mole d’atomes (1mol) contient environ 6,02214179(30)×1023 atomes
(constante d'Avogadro)
Les
ondes tactiles définissent les ondes d'ultra basse fréquence sur
l'échelle énergétique. Elles s'étalent de quelques vibrations par
seconde jusqu'à 16 cycles soit sur les 4 premières octaves.
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Mouvements de rotation
Tours/minute
|
Caractéristiques
|
Octave
|
---|---|---|---|---|
0,25
|
15
|
|||
1
|
60
|
|||
1,1
|
70
|
Pulsations du coeur humain
|
||
1
|
2
|
1
|
||
2
|
4
|
2
|
||
3
|
8
|
500
|
3
|
|
10
|
600
|
Courant alternatif de traction
|
||
4
|
16,3
|
4
|
Les
ondes acoustiques ou sonores s'étalent de 16,33 Hz à 16.384 Hz,
soit de l'octave 4 à l'octave 14. La vitesse du son est de 331
mètres par seconde dans l'air sec.
Les
sons audibles par une oreille humaine s'étalent entre 20 et 10.000
Hz, la sensibilité maximale de l'oreille étant située entre 1 000
et 3 000 Hz. Le domaine sonique réactif du système nerveux
humain ne couvre que l'octave 5.
La
sonorie (ou niveau sonore) est quasi-nulle dans le domaine
subsonique. Le seuil d'audibilité en décibels se trouvant vers les
20 dB ou 20 phones. A titre de comparaison, une conversation est
une rumeur sonore de 40 dB, un orchestre jouant, de 60 dB, le métro
souterrain de 80 dB. Un moteur à réaction assourdit à proximité à
120 ou 130 dB. C'est déjà le seuil de douleur, où la puissance est
à peine supportable.
La
musique. Elle est une combinatoire de fréquences harmoniques,
c'est-à dire où les sons ont entre eux des rapports simples
entiers. Des rapports accidentels, aléatoires, ne sont...
qu'accidentellement harmonieux.
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Longueur d'onde
|
Mouvements de rotation
Tours/minute
|
Caractéristiques
|
---|---|---|---|---|
16,33
|
1000
|
Son le plus grave perceptible
|
||
5
|
32
|
1500
|
Courant alternatif de traction
|
|
50
|
6000Km
|
3000
|
Courant industriel en Europe
|
|
6
|
60
|
3600
|
||
100
|
3000Km
|
6000
|
Courant industriel aux USA
|
|
7
|
128
|
|||
163
|
10000
|
|||
8
|
256
|
|||
300
|
18000
|
Son le plus grave transmis par
téléphone
|
||
400
|
Diapason LA (La3 à
440Hz)
|
|||
500
|
30000
|
Turbines
|
||
9
|
512
|
|||
10
|
1024
|
30Km
|
Courants à fréquence musicale
|
|
11
|
2048
|
Son le plus haut transmis par
téléphone
|
||
3000 ou 3 KHz
|
||||
12
|
4096
|
Sons les plus hauts transmis par la
Radio
|
||
5000
|
||||
13
|
8192
|
|||
10000
|
||||
15000
|
20Km
|
|||
14
|
16384
|
|||
30000 ou 30 Khz
|
10Km
|
Le son le plus aigu perceptible
|
Les
ondes Radio-électriques s'étalent de 16 KHz à 68.700 MHz, soit de
l'octave 14 à 36.
Octave
|
Fréquence
en KHz et MHz
|
Longueur d'onde
|
Nombre d'ondes
|
Caractéristiques
|
---|---|---|---|---|
14
|
16 KHz
|
|||
15
|
32,7 KHz
|
|||
40 KHz
|
Vibration laryngée fondamentale de
l'homme
|
|||
60 KHz
|
3Km
|
Radio-gonio
|
||
16
|
65,5 KHz
|
|||
17
|
131 KHz
|
|||
150 KHz
|
Communications radio-télégraphiques
|
|||
18
|
262 KHz
|
|||
300 KHz
|
1000m
|
10-5
|
Ondes longues kilométriques
(160-275)
|
|
400 KHz
|
Ondes moyennes pour radio-navigation
|
|||
500 KHz
|
Ondes pour signaux de détresse en
mer
|
|||
19
|
524 KHz
|
|||
20
|
1000 KHz ou 1 MHz
|
300m
|
||
1650 KHz
|
Petites ondes (Radiodiffusion)
|
|||
21
|
2 MHz
|
|||
3 MHz
|
100m
|
10-4
|
Ondes moyennes hectométriques
|
|
22
|
4 MHz
|
|||
23
|
8 MHz
|
|||
24
|
16 MHz
|
|||
30 MHz
|
10m
|
10-3
|
Ondes courtes ou décamétriques
|
|
25
|
33,5 MHz
|
|||
41 MHz
|
TV
|
|||
26
|
67 MHz
|
|||
100 MHz
|
3m
|
Modulation de fréquence (FM)
|
||
27
|
134 MHz
|
|||
200 MHz
|
TV/ Fréquences porteuse de vision
et de son
|
|||
28
|
268,4 MHz
|
|||
300 MHz
|
Ondes très courtes métriques
|
|||
29
|
536,8 MHz
|
|||
834 MHz
|
Raie du Méthanol CH3OH
|
|||
30
|
1000 MHz
|
1m
|
||
1612/1665/1667 MHz
|
Raie de l'Hydroxyde OH
|
|||
31
|
2000 MHz
|
|||
3000 MHz
|
10dm
|
|||
32
|
4000 MHz
|
10cm
|
||
33
|
8500 MHz
|
3cm
|
||
9192 MHz
|
Raie spectrale du Césium 133
|
|||
34
|
17000 MHz
|
Micro-ondes centimétriques de
laboratoire
|
||
34
|
21310 MHz
|
Raie spectrale du Thallium 81Tl
|
||
35
|
34300 MHz
|
|||
36
|
68700 MHz
|
Micro-ondes millimétriques
|
||
37
|
137000 MHz
|
|||
38
|
274800 MHz
|
100μ
|
102
|
|
39
|
549700 MHz
|
|||
40
|
1 GHz
|
300μ
|
TROU
|
Le
domaine thermique ou calorifique s'étend de 1012 Hz à 3014 Hz soit
de l'octave 40 à 48. C'est le domaine de l'Infra-Rouge. Son origine
se trouve dans la structure moléculaire et dans l'agitation
électronique provoquée par des changements énergétiques dus à
des mouvements de freinage ou de collision...
Le
Soleil observé dans tous les domaines allant de 1 à 1 000 μm,
s'est révélé posséder une température de 5700° K et un maximum
de rayonnement thermique par unité de longueur d'onde vers 0,5 μm.
Les
ondes olfactives sont un cas particulier des ondes thermiques. Leur
domaine couvre la 45ème octave, soit entre 14μ et 8μ.
Elles
ont leur source dans la structure spatiale des molécules. Autrement
dit, chaque molécule, de par sa structure géométrique, émet un
rayonnement. Ce rayonnement, ainsi que la dimension de la molécule,
sont captés par le système chimio-récepteur correspondant chez le
vivant organique : l'épithélium olfactif, dont les cellules
reconnaissent les particularités des odeurs. Après l'excitation du
récepteur, par ses cellules, l'impulsion décodée est transmise
dans les centres cervicaux spécialisés qui la décodent en
sensation olfactive...
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Longueur d'onde μ
|
Nombre d'ondes
|
Energie de
rayonnement
|
Energie
molaire |
Caractéristiques
|
---|---|---|---|---|---|---|
40
|
1012 Hz ou 1GHz
|
300μ
|
Infra-Rouge
|
|||
41
|
2112 Hz
|
|||||
42
|
4312 Hz
|
|||||
43
|
8712 Hz
|
10μ
|
103
|
0.124eV
|
2,86 Kcal/mole
|
Séchage photographique
|
44
|
1713 Hz
|
|||||
45
|
3513 Hz
|
18μ
|
Néon 10Ne
|
|||
14μ
|
Odeurs
|
|||||
10μ
|
Dioxyde de carbone CO2
|
|||||
8μ
|
||||||
46
|
7013 Hz
|
|||||
47
|
1414 Hz
|
|||||
48
|
2814 Hz
|
3μ
|
||||
3014 Hz
|
1μ
|
104
|
1.24eV
|
28,6
|
Proche Infra-Rouge
|
Elles
s'étendent de l'Infra-Rouge à l'Ultra-Violet, soit de l'octave 48 à
l'octave 56.
A
- Le spectre visible dans le champ de perception oculaire humaine
s'étend de 0,75 à 0,35μ de longueur d'onde soit entre environ
7.000 Å, limite supérieure de l'IR, et 4.000 Å limite
inférieure de l'UV, soit de 7,5.1014 à 4,3.1014
Hz, soit entre 0,43 et 0,75 millions de milliards de périodes par
seconde soit entre 1.77 eV et 3.1 eV d'énergie quantique
de rayonnement, soit entre 41 et 71 Kcal/mole d'énergie molaire de
liaison Q.
Le
spectre invisible couvre donc les infra et les ultra du spectre
visible - hors de notre champ de perception oculaire.
B
- La vitesse maximale de la lumière photonique
(électro-magnétique) est de
c
= 299.792,456 Km/s soit 3.108 m/s soit 30 cm par
nanoseconde (ou 10-9 s).
C
- Les Couleurs
Les
couleurs sont le produit de trois couleurs fondamentales, Rouge, Vert
et Bleu. Elles sont une propriété significative de la biosphère
terrestre et du système oculaire qui lui est accordé. Les couleurs
exposent aux biotypes certaines informations codées sur son ambiance
énergétique.
La
couleur d'un corps est l'expression univoque des propriétés
d'absorption et de réflexion des ondes incidentes. La chrominance
(l'information de couleur) est donc la réponse affectée d'un accord
spectral, un signal distinctif d'un état déterminé. Son acuité
dépend des données limitées par les seuils biotypiques et
biosphériques.
Ainsi,
un objet noir est-il un objet qui ne renvoie aucune des radiations
reçues. Un objet de couleur rouge est un objet qui absorbe toutes
les couleurs et ne renvoie que le rouge. Un arbre vert est un corps
qui réfléchit sélectivement, parmi toutes les radiations de la
lumière qu'il absorbe, une radiation complexe dont la dominante est
de 0,557μ de longueur d'onde : la couleur verte.
D
- L'indice exprime la caractéristique d'un milieu pour une
radiation donnée, en fonction de sa longueur d'onde. À chaque
radiation, correspond un angle de réfraction différent. Ainsi les
rayons (rouges) de grande longueur d'onde sont-ils déviés à la
sortie d'un prisme. Les rayons (bleus ou violets) de courte longueur
d'onde sont-ils fortement déviés. C'est par l'utilisation de ces
données qu'on peut filtrer et produire une lumière monochromatique
(effet Laser).
L'indice
de l'eau, pour le spectre visible, est de 1,33. Celui du verre 1,5.
Celui de l'air atmosphérique, environ 1 pour toutes les radiations
du spectre visible.
La
lumière solaire commande les activités biologiques et métaboliques,
la sexualité, la cérébralité, les performances sportives, les
mouvements réflexes, la virulence des microbes, l'activation de
certains enzymes et hormones, etc.
L'excitation
de la rétine règle la vie métabolique. L'hypothalamus, qui
commande les fonctions végétatives, digestives, circulatoires,
l'activité rénale et glandulaire, l'activité génitale et le
métabolisme basique, reçoit par l'oeil et la rétine la majeure
partie des informations électromagnétiques du milieu extérieur.
(Cf la Communication XXII-6)
Les
Infra-Rouges : La peau absorbe intégralement le rayonnement IR
qu'elle reçoit. Elle constitue, simultanément, un émetteur de
rayonnement IR. Comme un corps noir dans le domaine des longueurs
d'onde de 10μ.
La
lumière blanche stimule la régénération sanguine et entraîne
l'augmentation de l'hémoglobine. La pression sanguine augmente et la
diurèse diminue.
Les
ondes chromatiques sont toutes plus ou moins en résonance avec le
système nerveux. Ainsi le rouge est-il en résonance avec le système
nerveux central ; l'orangé avec le système sympathique ;
le jaune avec le système vago-sympathique ; le bleu avec le
cerveau, le cervelet et les méninges ; l'indigo avec le système
périphérique et rachidien ; et l'UV avec le système bulbaire.
(Nous reprendrons le détail de ces brèves indications dans la Communication XXIII.)
Les
UV : Les ondes d'UV ne sont pas absorbés par les nuages mais
diffusées principalement sous l'action de l'ozone. Les UV sont
absorbés dans la proportion de 20 à 75% par le verre des vitres des
habitations. Les UV font synthétiser la vitamine D par les stérols
de la peau. Les UV affectent la vitesse de division cellulaire. Leur
excès provoque le cancer de la peau, et leur déficit, le
rachitisme...
F - La spectroscopie atomique
La détermination des raies émises ou absorbées par un corps permet d'en établir la composition. Ainsi a-t-on pu découvrir la fréquence de certains alliages moléculaires. Par exemple :
La détermination des raies émises ou absorbées par un corps permet d'en établir la composition. Ainsi a-t-on pu découvrir la fréquence de certains alliages moléculaires. Par exemple :
L'Azote moléculaire émet sur
|
6300 Å - 6364 Å (Rouge)
|
Les atomes neutres d'Oxygène
émettent sur
|
5577 Å (Jaune)
|
Les molécules ionisées Ne+ émettent
sur
|
3914 Å et 4278 Å (Bleu)
|
L'Argon et le Néon émettent sur
|
4880 Å
|
Les différentes particules
d'Hydrogène radioactives émettent sur les longueurs d'onde
suivantes :
|
|
Hα
|
6562 Å
|
Hβ
|
4861.3 Å
|
Hγ
|
4340.5 Å
|
Hδ
|
4101.7 Å
|
Hε
|
3970.1 Å
|
Le
Laser est un faisceau directif de lumière intense, cohérente,
amplifiée, provoquée par une émission stimulée. Une impulsion
génère une émission liée en phase et en direction. C'est la
focalisation d'une énergie concentrée et transmise sans dispersion.
La
monochromaticité exprime la faible divergence du faisceau et une
cohérence optimisée. Mais le Laser développe une grande puissance
uniquement pendant un temps très court... Sa fréquence est
réglable. Les différents procédés de stimulation peuvent générer
toutes les nuances chromatiques. Ainsi y a-t-iI un rayon laser qui
est émis dans chacune des longueurs d'onde de la lumière visible.
Et le spectre d'émission s'élargit sans cesse.
Performances
et applications : Par ses propriétés de cohérence et ses
caractéristiques d'encombrement faible (le laser est portatif), le
laser est déjà l'outil précieux auxiliaire de tous les
techniciens. Chaque rayon laser est spécifié par sa gamme
d'application comme bistouri de lumière, enregistreur et
reproducteur de relief (holographique), et comme instrument de
communication.
1
)- En microchirurgie cellulaire, le Laser est utilisé pour la
destruction élective ou la modification de la carte chromosomique.
Ainsi a-t-on pu atteindre un type déterminé de cellules ou même un
des organites constituant de la cellule, et agir sur lui ou le
détruire, car il ne retient que la lumière d'une certaine couleur
par le phénomène de l'absorption sélective. Les autres substances
environnantes seront indemnes, n'étant pas accordées à la lumière
qui a agi sur les voisines. Par conséquent, il est possible d'agir
sur tel ou tel constituant cellulaire sans pour autant détruire la
cellule, et y apporter les modifications fonctionnelles désirées
dans l'économie cellulaire.
2)-
En astro-physique, le Laser est utilisé pour l'évaluation des
éloignements cosmiques, pour le relevé du cadastre planétaire et
de la géodésie dynamique, pour la mesure du champ géomagnétique
et les variations de l'espace-temps, etc.
3)-
En informatique, le laser est un moyen de transmission directive de
grandes quantités d'informations. Comme la visiophonie digitale,
(Blu-Ray Disc) qui restitue les vidéogrammes en très haute
définition et en relief sur grand écran, etc.
L'holographie
est, au sens étymologique, l'écriture en relief total. Elle est la
technique qui permet d'enregistrer un relief réel et de restituer,
par une reconstitution fidèle du relief (en 3 dimensions), la
totalité des informations contenues dans un front d'onde. Et ce,
quelle que soit la nature de l'onde : faisceau hertzien
radio-électrique, radiation ultra-sonore ou radiations d'UV...
La
dimension d'un hologramme est celle de la longueur d'onde du
rayonnement qui a été utilisé lors de sa production.
Il
est possible déjà de traduire un hologramme d'une nature donnée en
un hologramme d'une autre nature, mais toujours suivant des
proportions harmoniques. Ce qui confirme encore une fois l'unicité
du Rayonnement énergétique. Toutes les distinctions ne sont que des
transitions de phase au sein d'un rayonnement unique.
Hologramme
acoustique ⇔ Hologramme optique
Ses
applications comme outil d'investigation sont nombreuses dans le
domaine da la médecine (permettant de réaliser une imagerie en
relief à l'intérieur du corps par exemple et de voir ainsi à
travers les corps opaques : foetus, organes, etc.), de la
géophysique, de la métallurgie (pour voir le travail moléculaire),
de l'archéologie, de l'aéronautique (pour l'atterrissage sans
visibilité), etc.
Un
obstacle pourtant : La possibilité d'enregistrer et de regarder un
hologramme en temps réel.
I
- Tableau des ondes optiques
(Cf
aussi la Communication XI-1)
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Longueur d'onde μ
|
Longueur d'onde Å
|
Nombre d'ondes |
Energie Kcal/mole
|
Energie
du Photon
|
Caractéristiques
Raies
|
---|---|---|---|---|---|---|---|
48
|
2414 Hz
|
||||||
3714 Hz
|
0,8
|
8000
|
1,5eV
|
Rouge lointain
|
|||
7699
|
Potassium 19K
|
||||||
0,65
|
7000
|
14300
|
41
|
1,77eV
|
Rouge moyen
|
||
6708
|
Lithium 3Li
|
||||||
6562
|
Hα - Rouge proche
|
||||||
6328 ou 632,8 nm
|
Hélium-Néon
He-Ne
|
||||||
6000
|
16667
|
46,5
|
2,06eV
|
Orangé
|
|||
5980
|
Sodium 11Na
|
||||||
49
|
5614 Hz
|
0,6
|
5694
|
Calcium 20Ca - Jaune
|
|||
5577
|
Oxygène 8O neutre
|
||||||
0,58
|
Jaune citron
|
||||||
5351
|
Thallium 81Tl
|
||||||
5303
|
Fe 26Fe - Vert
|
||||||
6014 Hz
|
0,52
|
5000
|
20000
|
57,2
|
2,48eV
|
Vert moyen (Maximum de transparence
de l'eau)
|
|
4607
|
Strontium 38Sr
|
||||||
0,47
|
4480
|
Argon 18Ar -
Bleu moyen
|
|||||
4416
|
Cadmium 48Cd
|
||||||
4300
|
Méthane CH
|
||||||
4047
|
Potassium 19K
|
||||||
7514 Hz
|
0,41
|
4000
|
25000
|
71,5
|
3,1eV
|
Violet moyen
|
|
3875
|
Cyanure CN
|
||||||
3745
|
Dérivés du Méthane CH+
|
||||||
3300
|
Proche UV
|
||||||
2600
|
Adénine / Couleur à peine perçue
par l'homme
|
||||||
2400
|
Ammoniac / Couleur perçue par les
insectes
|
||||||
0,2
|
2000
|
||||||
1540
|
Xénon 54Xe
|
||||||
1161
|
Vers proche UV
|
||||||
1100
|
Dihydrogène H2
|
||||||
100mμ (10-5 cm)
|
1000
|
105
|
286
|
12,4eV
|
|||
50
|
1115 Hz
|
Ultra-Violet
|
|||||
1515 Hz
|
|||||||
51
|
2215 Hz
|
||||||
52
|
4515 Hz
|
||||||
53
|
9015 Hz
|
||||||
1516 Hz
|
0,02
|
200
|
|||||
54
|
1816 Hz
|
||||||
55
|
3616 Hz
|
||||||
56
|
7216 Hz
|
||||||
1017 Hz
|
30
|
400eV
|
Le
rayonnement X couvre un ensemble très important d'octaves. Il
s'étale de la 56ème octave à la 63ème
octave, soit de 7216Hz à l819Hz, sensiblement
entre 20Å et 0,1Å.
Dans
le flux moyen du Soleil calme, on remarque deux types principaux
d'émission de Rayons X. La classe I : Les rayons X mous émis à
> 1Å et qui ont plusieurs minutes de durée. Ils perturbent
l'ionosphère. Et la classe II : Les rayons X durs émis entre
0,01Å et 1Å. Les impulsions sont plus brèves.
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Longueur d'onde cm
|
Longueur d'onde Å
|
Nombre d'ondes
|
Energie de rayonnement
|
Vitesse
|
Caractéristiques
|
---|---|---|---|---|---|---|---|
57
|
1417 Hz
|
20
|
|||||
58
|
2817 Hz
|
||||||
59
|
5717 Hz
|
10-7
|
10
|
107
|
|||
1018 Hz
|
3
|
4000eV
|
RX mous
|
||||
60
|
1118 Hz
|
||||||
61
|
2218 Hz
|
||||||
3018 Hz
|
10-8
|
1
|
108
|
3950m/s
|
|||
62
|
4618 Hz
|
||||||
63
|
9218 Hz
|
||||||
1019 Hz
|
0,3
|
40000eV
|
RX moyens
|
||||
64
|
1819 Hz
|
10-9
|
0,1
|
109
|
124 MeV
|
RX durs
|
Les
RX sont complètement absorbés. Ils traversent tout y compris le
métal, sans être réfléchis. Les anomalies de propagation sont
dues aux variations de l'état ionosphérique déjà saturé, car les
RX sont fortement ionisants. Ils sont produits lors de la rencontre
d'un faisceau d'électrons de vitesse suffisante avec un obstacle
matériel. Et plus la tension accélératrice des électrons est
élevée, plus les RX sont pénétrants. Et l'absorption est d'autant
plus élevée que la masse atomique de l'élément irradié est
élevée.
Leur
émission provient particulièrement des sources galactiques. On a
remarqué des émissions de RX dans la Constellation du Scorpion,
dans la Nébuleuse du Crabe, dans la Radiogalaxie SCOX1-M87 (Virgo
A), dans le Quasar 3C273, dans les amas galactiques, dans les astres
dits à RX ou étoiles à neutrons, minuscules par leur volume mais
de grande puissance, etc.
Il
y a une corrélation entre la vitesse de dispersion des éléments
des amas galactiques émetteurs de RX, leur séquence d'évolution et
leur puissance en RX. Tout comme l'émission par le Soleil et la
perturbation de l'ionosphère...
L'irradiation abusive par RX
provoque des désordres métaboliques.
Ces
rayons très énergétiques s'étendent de la 63ème
octave à la 71ème octave, soit de 9218 à
plus de 112l Hz. Leur vitesse varie de la nanoseconde
(109s) à la picoseconde (10-12s) avec des
pointes jusqu'à la femtoseconde (10-15s). Etant de très
courte longueur d'onde, les THF sont très durs, très pénétrants.
Un champ magnétique moyen ne les dévie pas.
Le
Rγ est associé aux Rayonnements radioactifs α et β. Les trois
rayonnements ne peuvent être émis simultanément par un même
noyau.
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Longueur d'onde cm
|
Longueur d'onde Å
|
Nombre d'ondes
|
Energie de rayonnement
|
Vitesse
|
Caractéristiques
|
---|---|---|---|---|---|---|---|
63
|
9218 Hz
|
Rγ
|
|||||
64
|
1819 Hz
|
||||||
65
|
3619 Hz
|
||||||
66
|
7219 Hz
|
||||||
1020 Hz
|
0,03
|
400000 eV
|
Radiothérapie
|
||||
67
|
1420 Hz
|
||||||
68
|
2820 Hz
|
||||||
69
|
5620 Hz
|
||||||
70
|
1021 Hz
|
10-10
|
0,01
|
1010
|
1,24 MeV
|
||
10-11
|
0,001Å
|
1011
|
12,4 MeV
|
||||
71
|
2221 Hz
|
10-14
|
1014
|
12400 MeV
|
Les
trois rayonnements α, β, γ
Les
Rα (Alpha) ont une vitesse variant de 15 000 à 25 000
Km/s. Ils sont produits par les noyaux d'Hélium. Les Rα sont
relativement peu pénétrants. 1 à 8 cm d'air suffisent à les
arrêter.
Les
Rβ (Bêta) ont une vitesse variant de 100 000 à 300 000
Km/sec. Ils sont dus à des particules possédant une charge
électrique négative. Leur porteur possède une masse 1 800
fois plus petite que celle de l'atome d'Hydrogène. Tout atome qu'ils
frappent, émet des RX. Cent fois plus pénétrants que les Rα, ils
traversent quelques millimètres d'Aluminium.
Les
Rγ (Gamma) s'étendent entre 1021 et 2221 Hz. Ils sont
électriquement neutres. Très énergétiques, ils sont émis par les
atomes du Rα frappés par les Rβ . Le Rγ est porté par le photon
gamma. Le Rγ émis par le Cobalt 60 (radioactif) est utilisé à des
fins thérapeutiques. Cent fois plus pénétrants que les Rβ, ils
traversent jusqu'à 20 cm de Plomb. Les Rγ se distinguent par leur
haute fréquence donc et leur grande énergie. Mais ils ne sont pas
uniformes.
Les rayonnements de THF et d'UF
produits par le Soleil ont des énergies relativement faibles : <
1GeV. Celles produites par les étoiles et les amas galactiques ont
des énergies variant entre 1GeV et 1011GeV...
V
- 16 - LES ULTRA-FRÉQUENCES (VÉLAIRES)
Les
Rayons ultra-fréquentiels s'étendent de la 72ème octave
à la 80ème octave. La 8lème octave (Rayons Ω
Oméga) clôture l'Ensemble Energétique Universel. Leur vitesse est
de l'ordre de l'attoseconde (10-18sec) et davantage. Elle
dépasse donc la vitesse maximale de la lumière photonique.
D'après
notre modèle quantique théorique des champs, les Rayons
d'Ultra-Fréquences RUF qui se déplacent à une vitesse
supraluminique sont produits par les particules sub-nucléoniques
suivantes1
: « Tachyons »
(du
grec ancien tachus,
rapide, terme utilisé pour la première fois en 1964 par le
physicien Gerald Feinberg),
« Psychons »,
« Rations »,
« Bions ou
Biotons »
(porteurs des hautes énergies constructionnelles), Ergons
(d'après
le grec εργον ergon
travail,
caractérisant l'ergosphère des « Trous noirs »)...
et VELons (porteurs
des Vibrations d'Extrême Lumière, le Rayonnement Ω).
Les résultats très partiels de l'observation et de l'étude des
énergies des UF ne nous permettent pas encore de préciser certaines
données fréquentielles de ces super-radiances, si tant est qu'on y
arrive un jour...
Octave
|
Fréquence en Hz
|
Caractéristiques
|
|
---|---|---|---|
72
|
4421 Hz
|
Energies
constructionnelles
d'Extrêmes Hautes Fréquences
(en TéraHertz et +)
|
Tachyons
|
73
|
8821 Hz
|
||
74
|
1722 Hz
|
Psychons / Rations
|
|
75
|
3422 Hz
|
||
76
|
6822 Hz
|
Bions ou Biotons
|
|
77
|
1323 Hz
|
||
78
|
2623 Hz
|
Ergons
|
|
79
|
5223 Hz
|
||
80
|
1024 Hz
|
||
81
|
L'Energie Générique VELaire -
Rayonnement Ω
|
Velons
|
C'est
vers les plus hautes octaves que se situent les fréquences les plus
élevées de l'Univers énergétique. L'Energie VELaire, à la 8lème
octave, est le rayonnement maximal de l'Univers Energétique. Porté
par les Velons, c'est le Rayonnement Ω Oméga fondamental, source de
tous les autres rayonnements qui lui sont, par conséquent,
subordonnés. Gardons à l'esprit cette hypothèse de travail.
Puissions-nous en inspirer les chercheurs dans tous les domaines de
la Connaissance scientifique et philosophique.
Annexe2
Terminologie
officielle
2012 (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Onde_radio)
« Une onde
radio est
classée en fonction de sa fréquence exprimée
en Hz ou
cycles par seconde; l'ensemble de ces fréquences constitue
le spectre
radiofréquence.
Le spectre est divisé conventionnellement en bandes d'une décade,
dont les appellations internationales sont normalisées. Les
appellations francophones équivalentes sont parfois également
utilisées dans les textes français. »
Désignation
internationale
|
Désignation
francophone
|
Autres
appellations
|
Exemples
d'utilisation
|
||
---|---|---|---|---|---|
ELF (extremely
low frequency)
|
EBF
(extrêmement basse fréquence)
|
3 Hz à
30 Hz
|
100 000 km
à10 000 km
|
Détection de
phénomènes naturels
|
|
SLF (super
low frequency)
|
SBF (super
basse fréquence)
|
30 Hz à
300 Hz
|
10 000 km
à 1 000 km
|
||
ULF (ultra
low frequency)
|
UBF (ultra
basse fréquence)
|
300 Hz à
3 000 Hz
|
1 000 km à100 km
|
Détection de
phénomènes naturels
|
|
VLF (very
low frequency)
|
TBF (très
basse fréquence)
|
3 kHz à3
0 kHz
|
100 km à10 km
|
ondes
myriamétriques
|
Communication
avec les sous-marins,
Implants médicaux,
Recherches
scientifiques...
|
LF (low
frequency)
|
BF (basse
fréquence)
|
30 kHz à
300 kHz
|
10 km à1 km
|
grandes ondes
ou
ondes longues ou kilométriques |
|
MF (medium
frequency)
|
MF (moyenne
fréquence)
|
300 kHz à
3 MHz
|
1 km à100 m
|
petites ondes
ou
ondes moyennes ou hectométriques |
|
HF (high
frequency)
|
HF (haute
fréquence)
|
3 MHz à
30 MHz
|
100 m à10 m
|
ondes courtes
ou décamétriques
|
Organisations
diverses, Militaire,
Radiodiffusion,
Maritime
Aéronautique,
Radioamateur,
Météo,
|
VHF (very
high frequency)
|
THF (très
haute fréquence)
|
30 MHz à
300 MHz
|
10 m à 1 m
|
ondes
ultra-courtes ou métriques
|
Maritime,
Radio-amateur,
Gendarmerie
nationale, Pompiers,
SAMU,
Réseaux privés, taxis,
militaire,
Météo...
|
UHF (ultra
high frequency)
|
UHF (ultra
haute fréquence)
|
300 MHz à
3 GHz
|
1 m à10 cm
|
ondes
décimétriques
|
Réseaux
privés, militaire,
GSM,
GPS,
Wi-Fi,
Télévision
|
SHF (super
high frequency)
|
SHF (super
haute fréquence)
|
3 GHz à
30 GHz
|
10 cm à1 cm
|
ondes
centimétriques
|
Réseaux
privés, Micro-onde
|
EHF(extremely
high frequency)
|
EHF
(extrêmement haute fréquence)
|
30 GHz à
300 GHz
|
1 cm à1 mm
|
ondes
millimétriques
|
Réseaux
privés, Radars anti-collision pour automobiles, Liaisons vidéo
transportables
|
Térahertz
|
300 GHz à
3 000 GHz
|
1 mm à100 µm
|
ondes
sub-millimétriques
|
1 A
considérer exclusivement selon
notre nouvelle acception quantique, hors de toute élucubration.
Pour la petite Histoire des recherches spéculatives, Reich a nommé
« Bions » par exemple des « vésicules »
intermédiaires entre le minéral et l'organique et Sir
John Eccles
a
nommé en 1963 « Psychons » des échanges synaptiques...
D'autres ont pu considérer les Tachyons comme éléments de la
Conscience Universelle ou de « l'Ame » du monde...
2 Equivalences
: Selon la dynamique de notre modèle théorique, les VEM
(Vibrations d'Extrême Matière) correspondent aux énergies
quantiques portées aussi bien par les Basses Fréquences : EBF,
SBF, UBF, TBF, BF, et les MF que par les Hautes Fréquences HF, THF,
UHF, SHF, EHF, restant dans le domaine photonique, c'est-à dire
infra-luminiques. Les VEL (Vibrations d'Extrême Lumière)
correspondent exclusivement aux fréquences supra-luminiques, au
Rayonnement Ω. La VFP est la conjonction, dans des proportions
variées, des deux énergies quantiques VEL et VEM.