COMMUNICATION
II
LES CONSTANTES
STRUCTURALES
FONDAMENTALES
FONDAMENTALES
L'ordre des trois
symétries
SOMMAIRE de la communication II
Préliminaires
Pour une œuvre
d'universalité
1
- Les constantes structurales fondamentales
A
- Les universaux
B
- Enumération des constantes
1)
- de la structure systémique
2)
- des structures de genèse (La
2ème symétrie)
3)
– biocosmiques (La
1ère symétrie)
4)
- de polarisation (La
3ème symétrie)
5)
- de gravitation universelle
6)
- de dynamie d'ordre (de résonance
et d'équilibre)
7)
- du devenir
8)
- de mouvement, de vitesse et d'orientation
9)
- de transformation continue
10)
- de relativité
2
- L'architecture systémique sociétaire
et atomaire
A
- L'architecture sociétaire du
biocosme universel
B
- L'architecture atomaire
C
- Conclusion
3
- Les constantes de structure de genèse
A
- Le processus de genèse B
- La dynamique pulsatoire cyclique
C
- Le modèle des cyclisations pulsatoires
1)-
La contraction centripète du néoformé
2)-
La dilatation centrifuge de l'adulte
3)-
Le mouvement de balance
4)-
La courbe exponentielle de l'accélération
Liens et voies
de recherche pour aller plus loin
« Une proposition est
formellement correcte, si,
à l'intérieur d'un système
logique,
elle est déduite selon les
règles logiques admises.
Un système a un contenu de
vérité selon qu'il est possible
de le coordonner certainement
et complètement à la totalité de l'expérience »
A. Einstein
POUR UNE ŒUVRE D'UNIVERSALITÉ
Notre
but est d'incruster la connaissance comme pratique culturelle. Et ce
dans un monde où l'avancée de la technologie la plus sophistiquée
risque de dissoudre l'intelligence de la nature qui laisse les hommes
en proie à toutes les mafias de l'inculture qui profitent de la
carence philosophique et éthique. Par notre contribution au devenir
du corps de connaissance humaine, nous nous trouvons investis de
responsabilités à long terme. Notre projet, nous le voulons
absolument pertinent dans sa portée et dans sa validité. Nous
l'avons déjà dit et nous le répéterons. Il ne s'agit pas, pour
nous, de créer de toutes pièces un nouveau système mais de
redécouvrir les structures fondamentales de la naturéalité afin de
proposer aux chercheurs sincères - à qui nous destinons notre
travail -, une voie qui ne serait pas un leurre ou une impasse, mais
une voie logique et constructive. Prolongeant ainsi et vivifiant la
tradition philo-sophique par l'utilisation des données de
l'observation de la réalité tout-à-fait récentes et de leur
généralisation conséquente fructueuse.
Notre
vision bio-cosmologique se précise en effet à l'approche des
données de l'atomistique (matériologie), de la cytologie, de la
cosmographie, (de la physique descriptive), de l'astrophysique,
(ainsi que d'une critique de la systémologie), aspects différentiels
de l'étude bio-synthétique de la mise en œuvre universelle d'une
seule et même Energétique. Notre vision conclut toute analyse de la
structure existentielle fondamentale, de l'atome au tissu, de
l'embryon à l'adulte, de la planète à l'étoile, à la galaxie, à
l'univers - structure logique dont tous les termes sont identiquement
constants. Notre conception quantique est formulée dans une
axiomatique basée sur des universaux de structure.
De
notre vision précise de l'univers, de la structure naturéelle de
l'univers en travail, a émergé des invariants que nous avons décrit
comme une fédération d'organes en harmonie coopérative dans un
monde sériel jamais totalisable. Vitalisme de l'immanence pure...
Unité solidaire d'une présence infinie dans l'infinie diversité...
Les données de l'expérience microphysique ont guidé notre
systématisation. Nous avons cherché, fouillé, sélectionné,
éliminé, prospecté encore et retenu les principales données, pour
conclure, contre tous les a-priori, les présupposés idéologiques
et les spéculations, à une ultime détermination structurale
universelle contenant en elle-même ses propres dynamies
d'intégration, de développement et de reproduction. Notre
recherche, conséquence d'une logique plurale rigoureuse, accord
d'une pensée et d'une conscience phénoménologiques avec
elles-mêmes, d'une dialectique féconde, nous permit donc de
conclure à une synthèse univoque qui fonde l'univers
cosmo-biologique, révélant sa cohérence énergétique
fondamentale.
Nous
proposons une gerbe de clés ouvrant aux différents niveaux de la
naturéalité constructionnelle - notre ultime instance. Notre source
première de réflexion et de recherche est l'observation directe du
concret. Par l'identification structurale des causalités centrales
actives (ou réactives), des lois universelles déterminantes et des
paramètres accessibles à notre outillage cognitif, nous
introduisons à une saisie de la totalité complexe plutôt qu'à une
saisie, insuffisante, du ponctuel clos, isolé de son environnement,
et couvrant tous les éléments fondamentaux de structure. Par une
seule formule phénoménologique, nous avons essayé de relier
qualitativement les phénomènes les plus différents. Cette
caractérisation est portée par une axiomatique fondée sur les
instances de deux moments méthodologiques complémentaires. Le
savoir théorique et le savoir actif, expérimental, preuve de
validité du premier et sa valeur confirmée de vérité.
Dans
un souci de généralité, notre énoncé de synthèse, - notre mode
de réponse, sera rapide et essentiellement qualitatif, unifiant les
données par une axiomatisation systématique (non additive) faisant
échec à ce que la méconnaissance nomme hasard. Tous les arguments
décisifs sont exemplifiés par des vérifications observationnelles,
qu'elles soient a-priori ou a-posteriori. En effet, l'éloquence des
faits atteste sans équivoque nos assertions axiomatiques déductives
logiques. Tous les indices convergents témoignent en faveur de nos
thèses qui expriment les diverses propriétés de la matière, sans
rien escamoter ou négliger, et rendent compte de ses caractères
cycliques.
Quelques-uns
de nos philosophèmes et de nos conclusions-postulats, à
l'avant-garde scientifique, seront incessamment vérifiés à la
lumière des acquisitions à venir de la science. Avec la progression
de la recherche, on découvre constamment des relations entre les
phénomènes apparemment très éloignés les uns des autres. Quant à
certaines données, encore hors d'atteinte de l'expérience
scientifique, leur bien-fondé sera vérifié par le moyen des
concordances, des analogies et des ramifications amenées par des
rationalisations relationnelles, confirmant le lien intime par
exemple, entre la physique des particules et la cosmogonie évolutive.
Et cela sans prétendre épuiser tous les problèmes que pose une
réalité complexe. L'activité rationaliste de notre discours dans
la reconstitution logique du schéma intégral de l'univers, confirmé
par l'abondante moisson des faits observables recueillis, prend ainsi
l'aspect axiomatique, programmatique, prospectif, mais sans négliger,
pour autant l'aspect analytique. La concrétisation cognitive se
trouve située dans la continuité immédiate de la confirmation
décisive. Tel est le caractère fondamental de notre approche.
Mais
comment formuler, avec nos pauvres mots qui se paralysent, la
structure de la naturéalité qu'il nous a été donné d'approcher ?
Quel concept défini peut-il identifier et codifier rigoureusement la
structure fondamentale de la naturéalité ? Cette naturéalité
est-elle l'indéfinissable, l'innommable, hors notre champ,
irréductible à toute explication systématique, à toute
formulation, à tout schéma rationnel ? Conscients de la difficulté
d'une formulation radicale d'une vision cosmogonique et des
universaux qui en sont l'armature, nous avons choisi, dans notre
détermination qualitative, certaines particularités formelles
décrites ci-dessous :
-
L'accent est mis sur l'essentiel, comme on va le voir, mais sans
tomber dans les écueils des réductionnismes ou de l'épuration
abusive. Les exposés sont complexes mais simplifiés (consistant
parfois en de simples rappels de résultats), et portent sur les
relations générales invariantes.
-
La formalisation s'organise de façon cohérente par un rythme
centripète logistique, dans un cadre théorique très précis ou du
moins de précision suffisante pour le but que nous poursuivons,
selon une grille de définitions fonctionnelles et d'interprétation
progressive - stratégie globale de rigueur théorique possédant sa
logique propre.
-
La formalisation est portée par une trame de symboles culturels -
(géométrisation de la connaissance) -, graphes, diagrammes,
organigrammes, modèles explicatifs de la genèse et de la
propagation des phénomènes, raccourcis visuels percutants... Autant
de schèmes conceptuels et opératoires vérifiés. Système logique
différentiel, le modèle, pensée graphique, n'est pas un traquenard
intellectuel, mais bien le soutien indispensable de la pensée
théorique, un instrument inestimable qui, par sa concision formelle,
sa réduction explicite, quoique transitoire, et ses conjonctions de
sens dynamiques, stimule la recherche et l'intelligence cognitive.
-
Le langage n'est pas désuet, mais, au contraire, comme on l'aura
remarqué, ancré résolument dans une modernité qui exige un
langage rigoureux dont la fonction est de rendre lisible, visible, le
chiffre intime de l'univers. Dans notre textualité respectant la
spécificité des signifiés et des signifiants, nous avons réduit
l'arbitraire des termes en ne retenant que leur acception
étymologique. Chaque expression précise l'éclairage de notre
discours qui gagne ainsi en valeur persuasive et élimine, d'autre
part, tout risque de confusion et de mal-entendus.
-
Nous avons choisi, parfois, l'approche descriptive quasi-littéraire
pour mieux nous expliciter et illustrer notre propos ainsi que pour
tempérer l'aridité du sujet. Mais dans la seule mesure que nous
traçaient les limites de la rigueur logique.
-
Enfin, la segmentation efficace du texte en augmentera, nous
l'espérons, la lisibilité.
Cette
formalisation austère, de caractère synthétique normatif, organise
une communication que nous espérons sans brouillards, sans
contraintes et sans risque d'indigestion... Une initiation solide et
relativement suffisante, axée sur l'ouverture. Socle modifiant la
façon de poser les problèmes et définissant les orientations des
programmes prospectifs de recherche, elle ouvre à l'exploration,
sans restriction, des multiples voies, régies toujours par une
critique vigilante incessante et une pratique vérificatoire efficace
- notre gageure.
L'intelligibilité
de l'univers est à la portée de notre expérience d'hommes. Le
modèle théorique novalien répond à notre intention de favoriser,
par notre initiative catalytique, l'éclosion d'une semence d'éthique
cognitive - expression de notre pari sur l'intelligence stimulante de
l'homme et sur l'avenir des sciences exactes - sur un nouvel âge de
la Science - qui annonce déjà le renouvellement de la conception de
l'univers. En nous donc et en chaque chercheur, repose l'avenir
philo-sophique de l'humanité. La portée de notre thèse novalienne
unitaire déborde par conséquent le cadre informationnel pour
devenir instrument privilégié de formation, par son système
rigoureux d'axiomes justifiés, nettement formulés à partir des
données acquises ou transmises.
Notre
thèse s'adresse à tous les chercheurs philo-sophes - non seulement
aux spécialistes -, et particulièrement aux enseignants et aux
étudiants ouverts à l'intelligence du monde. De lecture certes
ardue mais qui reste très accessible, il sollicite le travail
personnel attentif du lecteur-chercheur, impliquant une ascèse
intellectuelle et un pouvoir de visualisation sans défaut. D'autre
part, il stimule sans cesse son désir cognitif, sans jamais le
rebuter par sa densité informationnelle. Ferment de valeur
déterminante, il apporte un foisonnement de sujets de réflexion et
un outillage de base important.. Cependant, sa valeur contributive à
l'obtention d'une connaissance basique sûre dans le contexte strict
des sciences modernes, risque les dangers d'une appréciation
incomplète, d'un jugement prématuré et d'un dévoiement... Chacun
y puisera selon ses capacités et chacun sera son propre témoin et
son propre grain.
Contre
le babélisme et l'anarchie inculturels des peuples, les incertitudes
des religions et le défaitisme des incroyances, les idéologies
d'asservissement de la pensée, tous les mécanismes d'aliénation,
toutes les cloisons qui morcellent l'intelligence, notre thèse
propose une culture verticale opportune, une connaissance de synthèse
homogène, non tronquée, gage d'une sécurité cognitive retrouvée,
à l'abri des vicissitudes de l'histoire humaine, et facteur
déterminant de progrès scientifique.
Notre
thèse unitaire globale (universelle et pluridisciplinaire) qui
coordonne et intègre les différentes branches de la connaissance en
une philosophie naturelle des sciences, fortement vertébrée,
directe et simple - son attrait -, et qui a l'avantage de pouvoir
être vérifiée expérimentalement, a déjà rallié l'enthousiasme
d'un nombre de plus en plus important de chercheurs.
II - 1 - LES CONSTANTES STRUCTURALES FONDAMENTALES
II - 1 - A - Les Universaux
L'Univers
est ordonné selon des lois précises. Il n'y a rien de trivial dans
la nature. Et il ne saurait y avoir de lois et de dérivées
partielles variationnelles. Les lois de structure sont les mêmes en
tout instant, en tout lieu de l'espace universel. Tout est concerté
dans l'univers grâce à la constance des lois, quelles que soient
les circonstances phénoménales - variables à l'infini. Le génie
de la nécessité causale ne connaît pas ce que l'ignorance nomme
hasard.
Les
universaux, lois majeures principielles, fondamentales, sont
invariants, immuables, irrévocables et en nombre fini. Contrat
unitaire, irréversible, absolu, qui sous-tend l'univers par des
relations d'invariance cosomologiques qui fondent l'harmonie
universelle intégrale - preuve de leur entière validité à toute
échelle, à tout niveau. Chacune des principales constantes
structurales fondamentales énumérées ci-après en axiomes,
trouvera son entière justification et formulation dans les
communications ultérieurs. Un bref aperçu explicatif prépare,
dores et déjà, le terrain.
Le
modèle phénoménologique unitaire sera progressivement élaboré.
L'ordre de présentation des constantes est relatif à l'exposition
des invariants dans nos communications. Cette division
conventionnelle n'isole les éléments invariants de structure qu'en
vue de les mieux considérer, de mieux les désigner et d'essayer de
les définir le plus clairement possible.
a)-
L'univers est un continuum architectural dans lequel tout élément
est un constituant d'un ensemble qui l'intègre - ad infinitum.
(C'est ce qu'on nomme la structure gigogne).
b)-
Tout, dans l'univers, est association structurale d'éléments. Cette
complexité associative coopérative est répétée inlassablement à
tout niveau, du micro au macrocosme. La réplication architecturale
est ramifiée à 1'infini.
c)-
Toute unité associative est divisible à 1'infini.
Nous
remarquerons dans l'architecture nucléonique, atomique ou stellaire
et galactique, la simplicité mathématique des concordances. (Cf
communication III)
a)-
Les invariants conjugués aux variables circonstancielles fondent la
différentialité de chaque phénomène nodulaire et déterminent ses
degrés de liberté.
b)-
Chaque nœud pulse. Et sa respiration pulsatoire est accompagnée
d'un pouvoir alternativement absorbant et émissif, attractif et
répulsif.
c)-
Les pulses sont caractérisés par deux cycles principaux. L'un,
long, de formation; l'autre, court, d'adaptation évolutive à la
quotidienneté.
d)-
En période de formation pulsatoire, la masse nodulaire se contracte,
aspirante. Sa vitesse cinétique s'accélère jusqu'à l'explosion.
L'orientation de son mouvement est généralement lévogyre.
e)-
Après l'explosion où le noyau rejette des caillots massiques, le
système entre en une période d'expansion expirante. L'ensemble est
formé alors d'un cortège de masses plasmiques éjectées qui
gravitent autour du noyau. L'orientation du mouvement est
généralement dextrogyre. La vitesse cinétique décélère
lentement jusqu'à un état de vitesse nulle qui provoque le
détachement d'un ou de plusieurs éléments du cortège orbital.
f)-
D'une respiration à l'autre, s'accomplit une mutation
caractéristique du devenir du nœud phénoménal considéré. (Cf
communication II-3)
a)-
Une racine bioénergétique unit, une même sève nourrit toutes les
branches de l'arbre. Ce qui souligne la continuité fondamentale de
la sève et la discontinuité (apparente) des multiples variantes -
branches et feuillages – qui sont autant de phénomènes
nodulaires.
b)-
Les constantes de couplage universel et de couplage vectoriel
circonstanciel (impliquant la complémentarité des charges) fondent
et localisent les nœuds phénoménaux biotypiques.
c)-
La vitesse maximale de la lumière photonique détermine l'axe de
symétrie séparant les énergies de matières supra-luminales et
infra-luminales.
d)-
Toute énergie est portée par une masse. (Cf communication III)
e)-
Chaque énergie porte son action cinétique sur les énergies qui lui
sont inférieures.
f)-
Tout est échanges énergétiques. Ces échanges déterminent le
spectre énergétique écologique universel. (Cf communication IV)
a)-
Tout corps est de structure dipolaire, ainsi que chacun de ses
constituants.
b)-
Dans tout ensemble nodulaire, le centre nucléaire est chargé
différentiellement suivant le sens de son orientation évolutive.
(Cf communication VI)
a)-
Tout se tient et tout est lié par les champs gravitationnels
mutuels.
b)-
Tout gravite autour d'un centre effectif sur des orbitales
déterminées.
c)-
Les orbitales issues des champs géomagnétiques nodulaires sont
alternativement chargés, conséquence des pulses courts. Seules les
orbitales peuplées sont neutres.
d)-
Tout champ est dévié au voisinage d'un champ gravitationnel plus
intense.
e)-
Le champ gravitationnel intense déplace les raies spectrales des
éléments. (Cf communication VI)
a)-
Rien n'est régi par le hasard. L'univers est radicalement ordonné,
suivant les trois symétries, par les règles organisées d'échanges,
de résonance et d'équilibre.
b)-
Les coordonnées d'équilibre sont fonction
1)-
de la topologie qualitative et quantitative fonctionnelle des
énergies conjuguées;
2)-
des exigences de résonance intra-, extra- et inter-nodulaires à
toute échelle;
3)-
des relations covariantes impliquant les lois de proportion dans les
combinaisons selon des rapports simples...
c)-
Les forces suivent la voie la plus efficace et la plus économique,
celle du moindre effort, sur les lignes de moindre résistance, les
chemins penta-dimensionnels les plus courts.
d)-
Tout élément éjecté ne peut plus retourner à sa source mère.
C'est le principe d'exclusion ou le tabou de l'inceste en Physique.
(Cf communication VI)
a)-
Tout pulse. Tout élément possède sa propre dynamie pulsatoire,
impliquant les propriétés cycliques ondulatoires, (de respiration)
et l'effet toboggan.
b)-
Tout est en devenir, en mouvement orienté. Tout mouvement est
développement cyclique en fonction de la puissance potentielle et de
l'âge nodulaire - de sa séquence évolutive.
c)-
Tout devenir est relatif à un espace-temps donné. Mais à la mesure
universelle, n'existe que le Présent. (Cf communication VII).
a)-
Tout est en mouvement orienté :
1
- Rotation orbitale autour d'un centre
2
- et rotation axiale, autour de son propre axe.
b)-
L'accélération et l'orientation d'un devenir massique sont liées à
la séquence évolutive nodulaire, c'est-à-dire aux forces
centrifuges ou centripètes qui en caractérisent une époque donnée
de son devenir chrono-spatial.
c)-
Tout corps en mouvement ainsi que ses composants appartenant au même
espace-temps, se contracte ou se dilate suivant la direction de sa
vitesse : Sa masse se contracte quand l'orientation est lévogyre et
augmente quand l'orientation est dextrogyre.
d)-
L'effet « boule de neige » caractérise l'augmentation de
la célérité à l'approche de l'explosion nodulaire. Après
l'explosion, le mouvement décélère.
e)-
Tout, dans l'univers, se propulse en spirales orientées.
f)-
La vitesse de la lumière photonique limite celle de tous les corps
particulaires à partir des nucléons baryoniques et leptoniques,
porteurs des champs électromagnétiques.
g)-
Le temps, sa dilatation ou son accélération, sont fonction de la
vitesse du mouvement.
h)-
La résistance à l'accélération et le poids d'un corps sont
mesurés par la constante massique qui détermine le poids dans un
champ gravitationnel donné. Plus la masse est grande, plus elle est
lente (relativement) à se mouvoir. Elle se trouve dans une relative
inertie par rapport à un observateur de faible masse et donc plus
agile. (Cf communications III et VII)
a)-
Rien ne s'anéantit. Rien ne se crée, rien ne se perd. Tout est en
transformation continue. Tout se transforme continuellement en
quelque chose d'autre. Quelles que soient les connexions causales.
b)-
Toute destruction n'est que la séparation des composants et leur
transformation en vue d'une recomposition différente.
c)-
Tout avènement n'est qu'une recomposition d'éléments séparés.
d)-
Tout, dans l'univers, suit le mouvement évolutif menant du plus
petit au plus grand, de la graine à l'arbre, de l'embryon à
l'adulte... (Cf communication VII)
a)-
Il n'existe pas un mouvement absolu perpétuel uniforme.
b)-
Chaque quantum possède son propre espace-temps, son propre code, son
propre mouvement. Autrement dit, le vecteur d'état d'un quantum
donné est fonction de sa position chrono-spatiale, soulignant ainsi
son appartenance à un espace écologique vectoriel précis.
c)-
Tout paramètre authentique caractérisant un quantum est déterminé
par l'état et l'orientation de son mouvement, avant tout par rapport
à lui-même, puis par rapport à d'autres repères. Ainsi la
simultanéité apparemment synchronisée de deux événements
apparemment indépendants dépend-elle des systèmes de référence
considérés.
d)-
Dans les limites de la vitesse de la lumière photonique et du
spectre électromagnétique (champ du photon), matière et énergies
sont équivalentes. Plus la masse est importante, plus faible est sa
vitesse. Et toute perte ou gain de masse est fonction de l'énergie
perdue ou gagnée par émission ou absorption. Et l'on vérifie le
principe de conservation de l'énergie par la conservation du moment
cinétique (de la quantité de mouvement) et les translations de
temps et d'espace.
e)-
Mais au-dessus d'un certain seuil fréquentiel, plus l'énergie est
haute, plus la masse diminue et plus sa vitesse augmente. Cette
symétrie s'opère à partir du monde sub-nucléaire.
f)-
Chaque quantum possède son propre monde, sa propre dimension. En
conséquence, l'univers, continuum homogène caractérisé par
l'hétérogénéité infinie de ses composants, possède-t-il une
infinité de dimensions. (Cf communication VII)
C'est
à travers notre descriptive naturéelle portée dans les
communications qui vont suivre, que nous rencontrerons, à divers
niveaux de lecture, les constantes structurales de la réalité,
aboutissant à une synthèse unitaire les coordonnant et les
intégrant toutes.
II - 2 - L'ARCHITECTURE SYSTÉMIQUE SOCIÉTAIRE ET ATOMAIRE
II - 2 - A - L'architecture sociétaire du biocosme universel
Les
tableaux suivants précisent le tableau sur les étapes successives
et simultanées de la structure gigogne universelle, parue dans la
communication III :
-
Un ensemble sub-nucléaire est un élément constituant dans un
ensemble nucléonique.
-
Un ensemble nucléonique est un élément constituant dans un
ensemble atomique.
-
Un ensemble atomique est un élément constituant dans un ensemble
moléculaire.
-
Un ensemble moléculaire ou cellulaire est un élément constituant
dans un ensemble organique corporel biotypique individuel.
-
Un ensemble organique est un élément constituant dans un ensemble
biotypique sociétaire.
-
Un ensemble biotypique sociétaire est un élément constituant dans
l'ensemble planétaire biosphérique.
-
Un ensemble planétaire est un élément constituant dans un ensemble
stellaire.
-
Un ensemble stellaire est un élément constituant dans un ensemble
constellaire.
-
Un amas constellaire est un élément composant dans un ensemble
galactique.
-
Un ensemble galactique est un élément composant dans un amas
galactique.
-
Un amas galactique est un élément constituant de l'entier universel
- qui englobe donc tous ses constituants.
Chaque
étape représente un nœud phénoménal. Chaque nœud est un agrégat
de tous les nœuds inférieurs ad infinitum. Les super-amas
galactiques représentent l'étape supérieure ultime de l'espace
peuplé de matières infra-luminales, et le quantum sub-nucléaire,
micro-sphérule, l'étape inférieure ultime dans l'échelle des
grandeurs massiques infra-luminales, accessibles aux outils
d'investigation actuellement disponibles. Ce quantum subnucléaire
est lui-même un univers de particules infiniment minuscules mais
dotées de vitesses supra-luminiques et d'une puissance de très
haute fréquence énergétique. Nous y reviendrons dans la prochaine
communication.
La
structuration micro- ou macro~cosmique étant formationnellement
identique, toute définition concernant une structure donnée
s'applique par conséquent indifféremment à toute structure. Les
différenciations sont de pure forme, l'unique différence étant
dans la taille L'ordre structural étant le même à petite ou grande
distance, un ajustement d'échelle suffit à cerner tous les
phénomènes, quelles que soient les dimensions des systèmes
considérés.
Dans
la population universelle, les galaxies sont au cosmos ce que les
étoiles sont aux galaxies ; ce que les planètes sont aux étoiles ;
ce que les biotypes sont à la biosphère ; ce que les cellules sont
aux biotypes ; ce que les atomes sont aux cellules ; ce que les
sub-nucléons sont aux atomes ; etc.
Le
monde est un motif structural gigogne répété identique à lui-même
à différentes échelles : C'est une sphère dans une sphère plus
grande dans une autre sphère encore plus grande dans... etc. Ce que
nous pouvons exprimer par les deux schémas ci-contre.
II - 2 - B - L'architecture atomaire
Une
même et unique structure de base se retrouve à tous les niveaux.
L'atomistique nous prouve qu'un nucléon est composé d'un cœur et
d'un nuage de planètes : les mésons. Eux-mêmes super-ensembles
groupant un cœur et des planètes (les quarks, par exemple). Que
l'atome est composé d'un cœur nucléonique, les protons et les
neutrons, et d'un nuage de masses orbitales : les électrons.
La
cytologie nous prouve qu'une cellule moléculaire est composée d'un
cœur et de différents organites qui en dépendent. Et qu'un corps
est composé d'un cœur pulsant et de différents organes qui en
dépendent.
La
Physique nous prouve que l'atome planétaire Terre est composé d'un
cœur et d'une infinité d'éléments à sa surface. L'astrophysique
nous prouve que l'atome solaire est composé d'un cœur solaire et
d'un nuage de planètes gravitant autour sur des orbites déterminées,
l'ensemble étant dit Système Solaire. Que l'ensemble constellaire
est composé d'un cœur et d'une multitude d'étoiles.
Et,
poursuivant son raisonnement logique, que les galaxies sont composées
d'un cœur et d'une multitude d'amas constellaires. Et que l'Entier
Universel - la Métagalaxie - est composé d'un cœur et d'une
infinité d'amas galactiques gravitant autour. Autrement dit, les
quarks s'associent entre eux pour former les nucléons qui forment
les atomes qui forment les cellules moléculaires qui forment les
organes qui forment le... etc.
II - 2 - C - Conclusion
II - 2 - C - Conclusion
Toutes
analogies mises ainsi brièvement en évidence, nous retrouvons donc
en tout système, le même agencement et le même processus
hétérogonique de base (de « hetairos »
compagnon), toute variation résidant dans le dosage du combiné
énergétique suivant :
-
Un noyau contenant la quasi-totalité de la masse du système
rayonnant une énergie gravitationnelle;
-
rassemblant autour de lui, sur les anneaux énergétiques un nombre X
variant de satellites, de masses, de matières, d'atmosphères,
différenciés,
-
qui gravitent autour du corps central dans des plans presque toujours
proches de la perpendiculaire à l'axe de rotation du corps central,
-
le tout et les parties étant régis par les cycles pulsatoires
coronaires.
II - 3 - LES CONSTANTES DE STRUCTURE DE GENÈSE
II - 3 - A - Le processus de Genèse
La
même structure se retrouve à tous les niveaux. Un ordre rigoureux
de résonance régit la formation et l'organisation interne de ce
tronc commun à tous les modèles à toutes échelles. Décrivons une
genèse stellaire.
1)-
Un couplage de champs énergétiques différenciés, déterminé par
certaines nécessités d'équilibre universel, produit, à partir des
éléments disponibles, un nœud énergétique de fréquence
particulière.
2)-
Ce nœud est un plasma galactique original, possédant une fréquence
particulière (VFP). La distribution de densité dans cet embryon
proto-stellaire est homogène sans être uniforme.
3)-
Ce nœud plasmique amorce ses pulsations formationnelles qui vont le
mener de l'état embryonnaire à l'état adulte. Les pulses
organisent les échanges énergétiques par les phénomènes de flux
et de reflux. La puissance des pulses et des échanges énergétiques
est progressive jusqu'au déclin terminal - porté potentiellement
depuis l'état initial.
4)
La condensation du plasma (rotatif) y est graduelle. Le plasma se
rétrécit. La distance au centre de rotation décroît
continuellement jusqu'à former un disque rotatif de très haute
densité.
5)-
Cette haute densité due à la grande concentration de masse au
niveau de rotation central du disque et à l'augmentation continuelle
de la vitesse de rotation générale et de l'agitation thermique des
composants, provoque, après une phase de turbulence interne, une
expansion libératoire d'énergies proportionnelles à la VFP et aux
conditions énergétiques ambiantes.
6)-
Ce qui aboutit à la fragmentation du nœud initial en
sous-ensembles, caillots ou portions plasmiques individuelles de
fréquences particulières, amorçant la formation des planètes :
Les éléments se séparent et gravitent en anneaux autour du centre,
en orbites elliptiques sur des distances variant selon leur
distribution de densité, et les champs fluctuants de l'énergie
gravitationnelle qui les retient par accord attractif puissant au
centre. Ainsi les quanta plasmiques les plus « légers »
sont-ils les plus éloignés du centre. Et les quanta « solides »,
telluriques ou métalliques, les plus rapprochés.
7)-
L'accrétion de ces caillots en amas plasmiques planétaires
énergétiques favorise la capture et l'inclusion de tous les
matériaux plasmiques affinitaires encore libres (dont les débris
météoriques), ou l'exclusion de matériaux non affinitaires
in-homogènes ou en surplus. L'embryon s'accroît jusqu'à atteindre
un équilibre stable par attraction gravitationnelle mutuelle avec
tous les corps composant le système.
Le
même processus de genèse se répète à l'échelle planétaire :
Les disques plasmiques rotatifs gravitent autour de la masse centrale
du système et deviennent eux-mêmes, entre autres causes, par le
fait de leurs rotations dynamiques, sources d'éjection et de
satellisation affinitaire par processus parallèles ou successifs,
renouvelant la genèse du nœud plasmique initial. Mais le processus
est relativement plus rapide. Les phases de sondage et de
stabilisation entre les composants d'un système se déroulent de
façon parallèle plutôt que consécutive, suivant la nature
énergétique de chaque nœud plasmique.
8)-
Le corps central répartit une partie de sa charge entre ses
héritiers. Les tailles diverses, les températures, la conductivité
électromagnétique sélective, les spins et autres caractéristiques
de chaque composant dépendent des multiples paramètres impliqués
qui interviennent dans sa genèse. En accord de résonance, chaque
planète s'organise, se caractérise, détermine la distribution de
ses composants sur des orbites définies, dégageant sa propre
atmosphère par un processus autogène sélectif d'adaptabilité
évolutive aux conditions énergétiques de l'environnement
écologique.
9)
Chaque corps relativement et l'ensemble des corps forment un ensemble
cohérent, homogène, isotherme, stable et régulier. Des seuils -
des limites très étroites - sont fixés dès le départ, à chaque
constituant et à l'ensemble ainsi organisé, par la puissance
potentielle des pulses qui les animent.
II - 3 - B - La dynamique pulsatoire cyclique
L'univers
pulse, respire, ainsi que chacun de ses composants phénoménaux.
Tout respire en une immense pulsation, contraction et expansion,
fusion et effusion sans fin. Après une contraction de fusion, soit à
partir d'une densité et d'une pression maximales, tout système
procède à une expansion progressive maximale, une dilatation
effusionnelle diffusionnelle, accompagnée d'un refroidissement et
d'un ralentissement progressifs. L'expansion est freinée par les
forces de gravitation et de sustension tendues jusqu'aux limites
imposées par la nature des composants énergétiques du système,
leur densité, la pression stabilisatrice et du milieu écologique
des phénomènes diffusionnels.
Puis
une nouvelle contraction s'opère par retour élastique (implosif).
La contraction s'accélère progressivement par l'effet « boule
de neige ». Pouvant provoquer collisions ou cataclysmes. Et ce,
jusqu'à la limite imposée par la pression. Le seuil dépassé,
c'est, de nouveau, la fusion et l'explosion. Les lois de symétrie
qui régissent les interactions comportementales nodulaires trouvent
là leurs principales causes.
Le phénomène pulsatoire est universel. Dans un ensemble donné, ce phénomène obéit à deux cycles, tous deux irréversibles. Le premier cycle est long et détermine la pulsation formationnelle régulière de l'ensemble du système en fonction des déterminants énergétiques qui le composent et qui l'entourent. Le second cycle est relativement court et détermine la pulsation régulière individuelle des composants de l'ensemble, pulsation « quotidienne » en fonction des déterminants énergétiques au sein de l'ensemble, en résonance avec les déterminants extérieurs.
Mais
c'est invariablement le même processus de contraction et de
dilatation qui s'opère à tous les niveaux. Considérons le modèle
pulsatoire ci-dessous : (Voir le fichier PDF)
Le
cœur où se réalisent les réactions et les recombinaisons
nucléaires est en noir. Le cercle extérieur signale les limites de
l'expansion. Les vecteurs fléchés expriment le double mouvement -
contractif vers l'intérieur, et expansif, vers l'extérieur.
Remarquons qu'au cours des cycles pulsatifs, le système ne perd son
identité énergétique qu'à terme. L'identité génétique d'un
homme adulte est contenue entière dans l'embryon qu'il était. Le
système la conserve intégralement, bien que perdant ou renforçant
son volume et son éclat. Sa quantité globale de mouvement reste
constante.
La
durée d'un pulse est relative. Si elle est observable et mesurable
pour un observateur lointain, elle est toute une éternité pour un
observateur saisi en son sein. Ci-dessous un autre schéma
explicitant l'orientation des mouvements cycliques dans le temps.
Nous y retrouvons le graphe universel symbolisant l'infinitude :
∞
Ou
l'involution formative d'un système vers son cœur réactif
originaire. C'est la compression ou l'implosion. Le corps implose. La
matière se rassemble par compression, la masse diminue, le corps se
contracte sur lui-même, jusqu'à ses limites internes. La
température s'élève. La vitesse, faible au départ, croît
régulièrement, par l'effet « boule de neige » Ce qui
provoque l'éjection simultanée de la différence de masse sous
forme d'énergie. A ce moment, l'espace-temps est comme
« interverti ». C'est ce phénomène qui est appelé
« trou noir ».
L'implosion
provoque, par ASPIRATION, une « poche », une « cavité »,
un « puits » énergétique au pôle Nord de l'objet
considéré. C'est là où s'engouffre et s'engloutit tout quantum
avoisinant énergétiquement plus faible. Celui-ci est
irrésistiblement piégé par ce champ extrêmement attractif. La
capture est irréversible. Et tout quantum aspiré perd son identité,
écrasé par une densité croissante. Ce qui provoque la
multiplication des forces gravitationnelles centrifuges, compensant
les pressions des énergies radiatives libérées au cours de la
dilatation, et le rayonnement de quanta fortement énergétiques, de
fréquences très élevées. On remarquera donc le double mouvement
de capture et de rayonnement d'énergies différentielles.
La
chute vers le centre s'opère en vrille, écoulement tourbillonnaire
le long des lignes de champs polaires, en un temps fini relativement
très court. La pointe du jet porteur d'énergie converge vers le
centre du puits en projectiles de force inouïe, disloquant les
alliages les plus résistants. La fréquence de l'émission de
lumière - également piégée, décroît de plus en plus.
Au
pôle Sud, s'opère l'éjection énergétique ouvrant un cône
d'éjection correspondant à la puissance éjective. La rotation
contractive réceptive aspirante est lévogyre.
L'ensemble
se déplace dans l'espace suivant une direction perpendiculaire à
l'axe, vers la droite de l'observateur. Générateur d'efficacité
réactive, l'écoulement devient de plus en plus turbulent et c'est
l'explosion. Le mouvement de l'ensemble contractif s'exprime par une
spirale contractive.
Ou
l'évolution d'un système vers ses limites. C'est la détente,
l'expansion dépressive, l'éruption explosive. Le cœur expulse un
plasma énergétique informe. Sa trajectoire se déploie en jets
tourbillonnants, spirale en vrille autour des lignes de forces des
champs magnétiques nucléaires, en une accélération prodigieuse.
Nous reconnaissons là un phénomène identique à celui de
l'ébullition de l'eau portant ses jets jusqu'à 40 cm de hauteur.
La
matière éjectée s'éparpille en fronts de choc, occupant un espace
croissant limité par la puissance d'éjection, la nature des
matières éjectées et la résistance écologique. Les éjections
plasmoïdes (ionisées), portées par les champs magnétiques,
rayonnent des quanta électromagnétiques de longueurs d'onde variées
(rayonnement dit synchrotron), cédés au milieu dans leur ascension
vers les zones les plus froides, tandis que le corps central happe et
prend et se nourrit de quanta de très hautes énergies.
Puis
la pointe du jet porteuse de l'énergie radiative libérée décélère.
Le plasma coronal se stabilise, entraînant les plasmas éjectés à
graviter en orbites ellipsoïdales autour de lui. La forme de
l'ensemble dessine d'abord une rosace, puis une quenouille, la
dilatation générale se faisant dans le sens équatorial par des
effets de dérive. Les régions équatoriales sont les zones
privilégiées d'expulsions volcaniques. La rotation expansive
expirante relaxante est dextrogyre. Le refroidissement est
progressif.
L'ensemble
se déplace dans l'espace suivant une direction perpendiculaire à
l'axe vers la gauche de l'observateur. Le mouvement de l'ensemble
expansif s'exprime par la spirale qui se déroule.
Le
double mouvement de l'ensemble, contractif et expansif, imploseur et
exploseur, mouvement de compression et de dé-pression, s'exprimera
dès lors par la double spirale, l'une qui s'enroule et l'autre qui
se déroule, comme une vis qui s'enfonce et remonte.
En
période contractive lévogyre, la vitesse est nulle à faible à
forte s'ouvrant sur une mutation. Ce qui est exprimé par une courbe
logistique exponentielle, les coordonnées axiales exprimant le temps
et la croissance évolutive. (Figure 13)
En
période décontractive dextrogyre, la vitesse est forte à faible à
nulle. (Figure 14)
Chaque
période suivant l'autre, nous obtiendrons le schéma suivant.
(Figure 15)
Mais puisque le mouvement pulsatoire est cyclique et évolutif et que son orientation est alternativement lévogyre et dextrogyre, il serait plus exact de formuler la courbe logistique exponentielle par un schéma en carré où les coordonnées extérieures expriment le temps (les chiffres sont indicatifs) et les coordonnées intérieures, la croissance. La courbe obtenue est ovale. (Figure 16) L'ellipse ne se referme pas puisqu'elle s'engage sur un nouveau cycle dans le mouvement spiralé général.
Cet
organigramme est fondamental pour exprimer le devenir de tout nœud
phénoménal. L'expérience confirme en tous points nos thèses qui
sont donc en accord complet avec les lois de la mécanique quantique
et de la relativité restreinte.
Nous
aborderons plus en détail, dans les prochaines communications, tout
ce qu'implique cette structure de genèse - la cyclisation pulsatoire
- et, en particulier, les gyro-résonances, l'hélicité et la
dynamique dipolaire, les charges magnétiques, les champs orbitaux,
etc.
Hélicité
(Physique des Particules)
Ordre
en Mathématiques
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Claude Khal • LE CANTIQUE DES QUANTA